Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Passion Yaoi
Passion Yaoi
Publicité
Derniers commentaires
Newsletter
25 janvier 2010

Le tuteure d’un humain

Chapitre 1


Je l'étais reposé un bon moment avant de me faire réveille par le bruit du tonnerre. L'orage grondait dans le ciel de Tokyo, les éclairs éclairaient toute la ville. Je me trouvais au club et dans ma chambre, je me demandais ce que faisait Kentaro d'autant plus que sa tonné dehors j'espérais juste qu'il soit à l'abri: Où la qu'est ce qui m'arrive ? Je me soucie de lui. Ah quel vampire je suis pour me soucier de lui alors qu'à n'importe quel moment je peux le mordre. Mais il est si mignon aussi (grand sourire). Je me redresse donc et viens près du lavabo et passe un coup d'eau sur le visage. Les éclaires éclairaient ma chambre et je viens me changer pour mettre des vêtements plus amples et plus aguichant pour le reste de la soirée. Je sors une chemise noire et un pantalon à rayure noir et blanc fin. Autour de son cou pend une chaîne en argent.

 

Une fois habillé et ayant mis du parfum comme j'aime, je sors de la chambre et descend l'escalier qui emmène au bar que je tenais dans le club. Je viens prendre place derrière le comptoir et prépare-le tout pour les clients. Le bar était ouvert 24h sur 24 et je venais remplacer un confrère. Quelques clients se tenaient déjà la devant le comptoir et d'autre se trouvais dans les autres salles ou sur les banquettes du club.

- Alors, ton petit protéger n'est pas là ?

- Non il est de sortie, pourquoi ?

- Non, Non comme cela.

- Évite de t'aventurer là, où il ne faut pas tu sais ce qu'il tâtant.

- Oui, oui.

Je pris ma place au bar et prie les commandes des clients qui étaient aussi séduisant les ainsi que les autres enfin du moins pour certain. La musique était assez bonne et je me déhanchais doucement derrière le bar. Je finis par redresser la tête et ressenti l'odeur non loin de là de mon petit protéger et je souris. Il était encore là, envie et tant mieux pour moi.

La musique couvrait le bris de l'orage. Cela dérangeait personnes et moi pas du tout. Mais je savais que cela dérangeait Ken et qu'il allait vite entrer dans le club pour venir se réfugier sou le bar comme toujours. Je comptais jusqu'à trois.

- Un ...deux.. trois..

Et il entre dans le club des plus terrifier et se dirige en tombe vers le bar pour se cacher derrière et boucher ses oreilles. Je le vis faire et je sers la commande pour un client et viens le voir.

- Ken je suis là !

***************************

Ma vie était vraiment spécial. J'étais un enfant dans le corps d'un adolescent au dos meurtri par d'horribles cicatrices. Je n'avais jamais compris ce qui m'était arrivé. Mes parents ne m'avaient jamais rien dit. Et je ne m'étais jamais souvenu de rien. Mais mon papa et ma maman m'ont aidé. Ils m'ont apprit à étudier et m'ont soutenu. Grâce à eux, j'ai pu rattraper le retard que j'avais accumulé. Bien sur, j'avais toujours l'esprit d'un enfant de dix ans, mais je faisais de mon mieux pour agir en grand. Mais j'avais découvert quelque chose d'étrange. Mon corps. Bien sur, j'avais compris que mon corps avait maintenant dix sept ans, mais je ne comprenais pas ses réactions. Par exemple, quand je me réveillais le matin j'avais mon sexe tout droit et tout dur. J'avais jamais osé en parler papa et je comprenais pas ce que c'était. Il y avait d'autres choses comme ça. Comme le fait que je ressentais quelque chose de bizarre quand je croisais un garçon que je trouvais beau. Mon coeur commençait à battre très fort et très vite et je ressentais une très grand chaleur de tout mon corps. Ca me faisait peur parfois. Mais je n'osais toujours pas aborder le sujet avec mes parents. Ils s'étaient assez inquiété pour moi. En plus, j'allais bientot entrer à la grande école.

Alors que je commençais à reprendre une vie normal, mes parents perdaient la vie. Mais je n'étais pas tout seul. Un homme m'avait pris sous son aile. Il m'avait sortit de la voiture et m'avait emmené avec lui. Il ne m'a pas caché ce qu'il était. Un vampire. Et j'étais dans un club rempli de vampire. J'ai eu peur au début, mais finalement, j'ai pris confiance en lui. Il était gentil et il prenait soin de moi. Il me laissait même aller à l'école. J'avais ma liberté et je pouvais faire ce que je voulais tant que je revenais vers lui soir. C'était pas si mal pour une nouvelle vie. En ce moment, je dormais paisiblement, mais mon sommeil fut interrompu par la sonnerie retentissante de mon réveil matin. Je me lève donc et m'étire, baillant. Je vais ensuite me doucher et m'habiller. Une fois prêt, je prépare mon sac pour l'école. J'avais fait mes devoirs et j'avais plus qu'à aller en cours. Je savais que Jiro dormait encore donc je le dérange pas. Je sors du club et me dirige vers l'école. Je remarque facilement que le ciel était pas très accueillant ce matin et qu'il risquait de pleuvoir. J'espérais juste qu'il y aurait pas d'orage. J'avais très peur de l'orage.

Enfin, j'arrive à l'école. Mais j'avais pas tellement d'amis. Ben oui, les autres avaient vite remarqué que j'étais pas normal. Du moins c'était ce qu'ils disaient. Ils disaient que j'étais un attardé. Mais je m'en fichais. J'avais Jiro, c'était déjà beaucoup. Je m'installe en classe et sors mes devoirs et mes cours. Le professeur vint les récupérer et commença à donner son cours. je l'écoute en silence, prenant des notes. Certains élèves discutaient entre eux, ne s'intéressant même pas au cours.

- Regarde ce gamin. Il a notre âge mais c'est un vrai attardé. Je l'ai déjà vu à la pause jouer avec des jeux d'enfants. Il est trop débile.

- Ta raison. D'ailleurs je comprends pas comment il a put entrer ici.

Je les entendais très bien. Mais je n'y prêtais pas attention. J'étais entré dans cette école grace à mon travail. Eux, ils préféraient discuter au lieu de se concentrer. Tant pis pour eux. Ils se plaindront après. Je me désintéresse d'eux et reviens au professeur. La journée se passa assez bien, mais le ciel était toujours aussi gris et maussade. Enfin, les cours s'achevèrent. Et comme si le temps n'attendait que ça, l'orage commença à gronder. Je sursaute au premier coup de tonnerre et me met à courir vers le club au deuxième. J'étais paniqué à cet instant même. Enfin, j'arrive au club et je cherche Jiro. Je monte dans les chambres et je le trouve pas. Je me souviens alors qu'il était au bar. j'y fonce donc et, sans vraiment réfléchir, je passe entre les clients et passe derrière le bar. Je m'installe en dessous et bouche mes oreilles pour ne plus entendre le tonnerre. Je savais que Jiro viendrait me consoler. Mais je ne bougeais pas, attendant.

Je l'entendis enfin m'appeller. Il s'était penché par dessous le bar et me regardait. Je relève lentement la tête et le regarde. J'avais toujours les mains sur mes oreilles et des larmes coulaient sur mes joues. Je tremblais de peur. Je n'aimais pas l'orage. Je ne réfléchis pas plus et je saute dans ses bras. Je m'accroche à son cou et me sert fortement à lui. Je tremblais encore et je voulais qu'il me rassure comme il savait si bien le faire. Je savais que les clients nous regardaient mais je m'en fichais. J'avais trop peur pour réfléchir. J'étais redevenu le petit garçon que j'étais. Là, l'adolescent était bien loin.

- Jiroh... j'ai peur...

***************************

Il venait se jeter dans mes bras et je le sers contre moi. Je l'enlace dans mes bras forts et le console doucement. Il était accroché à-moi comme un enfant de cinq ans cela, ne me dérangeais pas et je me fichais un peu des clients. Ici on n'entendait pas trop le tonnerre cela était assez bien pour Ken. Je le rassurais comme toujours le bercer contre moi. Je caressais ses longs cheveux noirs. Il était comme un enfant pour moi ainsi, mais au fond de moi il était bien plus, mais je n'arrivais pas à me l'avouer. Dans ses moments là Ken ne se comportait pas comme un ado, mais plus comme un enfant. Depuis que je l'ai recueillie j'ai toujours été là pour lui. Cela était arrivé parfois qu'il se face mal et que son sang coule alors la j'étais plus quand panique de peur de le mordre. Il m'en avait fait des vertes et des pas mûres et de belle frayeur.

-Je sais Ken... Je sais, mais je suis là et il ne t'arrivera rien et tu le sais pourtant.

Je sors du bar et vient le poser sur une des banquettes vide du club et reste près de lui jusqu'à qu'il soit calmé. Je ne pouvais pas me permettre de lâcher mon travail non plus. Je lui caresse les cheveux et frotte son dos. Je pouvais sentir son sang bouillonnait de terreur comme tous les autres vampires du club aussi. Ils savaient tout-que personne ne devait le toucher et que si un le fessait je le tue. Je faits signe à un autre serveur de m'apporter une boisson pour Kentaro.

- Tu es en sécurité ici, tu le sais pourtant.

Un de mes confrères me rapporte la boisson et la pose sur la table.

- Tien Kentaro, ton jus préfère. Dit une de mes confrères.

- Merci Jun, j'arrive prend ma place pour le moment.

- Ok

Il partie nous laissant seul tous les deux. Je reste un moment assez côté. Je ne comprenais pas parfois la réaction des humains. Pourquoi avoir peur de l'orage ? Surtout que cela ne dure pas longtemps et qu'ici il est en sécurité. J'ai encore pas mal de choses à apprendre. Il était encore jeune ça lui passera peut-être. Depuis de siècle je me souvenais de moi en moi de mon passé est de ma famille. Depuis que je suis ici ma famille et se club et surtout Kentaro. Je ne sais pas ce que j'étais pour lui. Mais pour moi il était comme un petit frère, même si parfois je voulais avoir plus avec lui. Il m'attirait dans les deux sans du terme. Je le voulais que pour moi seul. Je savais qu'il n'était pas éternel non plus et qu'un jour on devrait faire un choix. Soi il reste sur terre à vivre grandir et mourir, soit je le mords et il devient comme moi.

Pourtant, on n'avait pas le droit de tuer cela serait une faute grave. On avait le droit de les mordre certes, mais pour nous en faire des calices. Je savais ce que cela fessait de s'attacher à un humain, c'était la pire des choses qui pouvaient nous faire mal. Je secoue la tête doucement pour m'enlever cette penser de la tête. Je le vis boire tranquillement et je sentais son coeur battre a une allure plus régulière. Il se calmait peu à peu et cela me rassurait aussi. Je pouvais sentir son sang aussi l'agité en lui et cela me fit frissonner doucement.

- Ca va un peu mieux Ken ?

*****************************

 

Je sentais ses bras autour de moi. J'aimais sa chaleur et sa douceur. Il savait comment me consoler. Je lui avais encore jamais dis le problème que j'avais. Je craignais qu'il me rejette s'il savait pour mon mental. Mais pour l'instant, je voulais juste qu'il me console. Il m'emmena loin du comptoir et m'aida à m'asseoir sur une banquette. Il demanda une boisson pour moi et un collègue à lui m'apporte mon jus de fruit préféré. Mais j'étais toujours contre Jiro. J'écoutais ce qu'il me disait ainsi que la musique. Je n'entendais plus le tonnerre. Cela me faisait du bien. Il avait raison, je savais qu'ici je ne risquais rien. Je me détends doucement et bois un peu mon jus. Il était toujours aussi bon. C'était vraiment le bonheur de le boire. je regarde alors Jiro et je souris.

- Merci Jiro. Désolé, je sais que je risque rien, mais j'ai si peur... c'est pas ma faute.

J'allais me lancer et lui dire la vérité, mais on l'appela au bar. Je le vis me faire un sourire d'excuse et retourne à sa place. je reste un moment sur ma baquette et termine mon verre. Je le regarde un moment, souriant. Puis je me lève et monte dans ma chambre pour travailler mes devoirs. Je lui parlerais après son travail. En plus, ce que j'avais à faire pour l'école me demandait du temps. Donc autant en avoir. Je me mets au travail avec concentration. Lorsque je termine, je m'étire et baille. J'étais un peu fatigué. Cela devait faire un moment que je travaillais. Je range tout et me lève, me détendant les muscles. Après cela, je vais prendre une douche et enfile un pyjama. Ce n'est qu'en revenant dans la chambre que je vis que Jiro était là. je lui souris et viens dans ses bras. Je lui fais un câlin. mais je devais me lancer. Je me recule et le tire dans ma chambre pour le faire asseoir sur le lit.

- Jiro... je dois te dire quelque chose d'important...

Je n'avais encore jamais dis à personne mon problème. Je ne savais pas comment il réagirait. Je baisse un peu les yeux et triture mes doigts. Je savais pas comment lui expliquer le problème. Il m'avait si gentiment prit sous son aile. J'avais peur qu'il me jette dehors. Mais je craignais aussi qu'il me traite différemment. C'était horrible comme sensation. Enfin, je prends une grande respiration et que le regarde.

- Jiro... je t'ai jamais dis mais... j'ai eu un accident quand j'étais petit... on m'a expliqué que j'étais dans le coma quand je me suis réveillé... J'avais dix ans que c'est arrivé... et... je... je me suis réveillé avec ce corps de 17 ans... j'ai encore l'esprit que j'avais avant mon coma...

Voilà, ça y est, c'était dis. Et maintenant, qu'allait il me dire ? Qu'il voulait plus de moi ? J'avais si peur. Je tremblais légèrement et je sentais de nouvelles larmes qui allaient encore couler sur mes joues. Mais je n'osais pas me jeter dans ses bras. je voulais pas le sentir me rejeter. Alors j'étais là, devant lui, attendant sa réponse, très anxieux.

*******************************

 

- Merci Jiro. Désolé, je sais que je risque rien, mais j'ai si peur... c'est pas ma faute.

- Tu na pas à être désoler mon petit Ken. Je sais que c'est pas de ta faute.

Je lui ébouriffe les cheveux doucement et lui souris. On fini par m'appeler et je me redresse pour reprend ma place au bar. Cela me déplaisais de le laisser ainsi, mais en le regardant bien il avait l'aire tres bien et allait mieux. Je retrouve donc à mon travail pour une bonne partie de la soirée. Je servais les client discutais avec eux. En aucun cas j'avais envie d'en séduire un. La seul personne que je voulais séduire c'était mon jeune Kentaro. Il était monté faire ses devoirs. J'évitais de le laisser seul le moins souvent possible. Je fini par remonté à la chambre où j'entre et le vie sortir de la douche et enfiler son pyjama. Il me souris et vient dans ses bras. Je le câline doucement et il fini par me tire dans sa chambre et je m'installe à ses côtés.

- Jiro... je dois te dire quelque chose d'important...

J'ose un sourcil et je me demandais se qu'il avait à me dire. Je le vis baisser les yeux et trituré ses doigts. Que se passait-il pour qu'il est l'air si inquiet. Je sentis son coeur batte à une allure plus que inquiétante, je pouvais ressentir sa peur monté en lui et je comprenais pas. Il fini par reprendre sa respiration et me dit:

- Jiro... je t'ai jamais dis mais... j'ai eu un accident quand j'étais petit... on m'a expliqué que j'étais dans le coma quand je me suis réveillé... J'avais dix ans que c'est arrivé... et... je... je me suis réveillé avec ce corps de 17 ans... j'ai encore l'esprit que j'avais avant mon coma...

Il me raconta dont se que je ne savais pas sur lui. Cela m'entonnais, car je ne lui avais jamais rien demander sur son passer et sur lui. J'en fus des plus surpris mais cela ne me fit rien je me doutait déjà qu'il était encore un gamin dans un corps d'adolescent.

- Kentaro ne pleure pas, tu n'as pas à pleuré.

Je le vie trembler comme une feuille et je viens essuyer ses larmes de mon pouce. Je n'aime pas le voir ainsi. Je fini par lui redressé la tete et vien l'embrasser. Je savais qu'il ne comprendrais pas se que je fessais, mais cela le calmerai peut-être. J'entrais ma langue dans sa bouche et vien caresser la sienne. Je finis par rompe se baiser et le regarde.

- Tu es Kentaro rien ne changera. Je t'aime comme tu es. Ne change pas tu m'as compris.


**********************************

 

Je lui avais dis. je lui avais dis mon problème. J'avais si peur qu'il me rejette maintenant. J'étais sûrement pas ce qu'il avait imaginé. J'avais si peur. Mais il ne dit rien. J'étais presque en larmes quand il me dit que je ne devais pas pleurer. Il vient sécher mes larmes. Je renifle doucement, essayant d'arrêter de pleurer. C'est alors que je sentis sa main venir me redresse la tête. Je le regarde alors et je n'eus pas le temps de réfléchir qu'il posa ses lèvres sur les miennes. J'ouvre de grands yeux. je ne comprenais pas ce qu'il faisait. Soudain, je sentis sa langue entrer dans ma bouche et venir caresser la mienne. J'en oubliais ma peur pour devenir curieux. je ne savais pas ce que c'était. Mais je ressentais quelque chose de bizarre en moi. J'avais chaud et mon coeur battait si vite. Enfin, il recula et me regarda. Il me dit alors que j'étais Kentaro, peu importe ce qui m'était arrivé. Je souris, me sentant heureux.

- Merci Jiro. merci beaucoup. je me sens mieux maintenant.

Je lui offris mon plus beau sourire. C'est alors que je repense à quelque chose et je vais à mon sac pour sortir un classeur. Je l'ouvre et viens lui montrer ma dernière interrogation qui était noté d'un 19/20. je lui souris. J'avais pris l'habitude de lui présenter toutes mes notes. J'aimais voir de la fierté pour moi dans ses yeux. Cela me donnait envie de faire encore mieux pour voir encore cette fierté. Je voulais qu'il me sourit. Qu'il me dise qu'il était content. Et qu'il m'ébouriffe les cheveux comme il savait si bien le faire.

- J'ai bien étudier mon thème et j'ai réussi^^

Je le laisse observer mon interrogation avant de la ranger et de remettre mon classeur en place. Je range ensuite mon sac en souriant. Puis je repense au contact de nos lèvres et je les caresses du bout des doigts. Je ne savais pas ce que c'était et j'aurais voulu comprendre. Je le regarde encore une fois et lui souris. Je ne savais pas comment poser la question. Puis finalement je me lance avec l'innocence des enfants.

- Dis Jiro, c'était quoi que tu m'as fait ? Tu sais, pour plus que je pleure. C'était... bizarre. Mais agréable. Tu crois que tu pourras recommencer ?

Je lui souriais d'un air innocent. J'étais comme ça avec lui. Je savais que j'avais aucune raison d'avoir peur ou de me méfier. Il ne m'aurais jamais fait de mal. Il avait toujours prit soin de moi depuis qu'il m'avait sortit de l'accident. J'avais en lui une confiance totale et aveugle. Il me protégeait des autres vampires, me logeait, me nourrissait et m'offrait la liberté que j'avais ainsi que le réconfort dont j'avais besoin. J'étais presque au paradis. Je n'aurais pas pu demander mieux... à part peut être de rester avec mes parents. Mais j'avais vite compris que la vie était parfois cruel. Même si elle l'avait assez souvent était avec moi. Mais maintenant je ne voulais plus croire à un autre problème. Maintenant, tout irait bien, je serais plus jamais seul. Jiro serait toujours avec moi.

Publicité
Publicité
Commentaires
Publicité