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3 octobre 2009

L'amour difficile

<p><p>Le ton des paroles de Yume retourna le cœur de Manek, ce n’étai</p></p>

Chapitre 4 sous ©

Tout avait passé trop vite, Juliette venait de quitter la cathédrale dans une ambulance. Elle faisait une fausse couche. La demoiselle pleurait à chaudes larmes. L'ambulancière avait refusé qu'Eiji monte avec eux. La jeune femme tenait la main de le jeune médecin qui lui disait de respirer. Juliette avait mal et cette route dans l'ambulance ne l'aidait pas. Une fois arrivée, les ambulanciers la sortirent de la voiture puis ils entrèrent dans l'hôpital. La douleur était devenue tellement immense que Juliette en avait du mal à respirer.

- On doit la brancher sur respiratoire! Dépêchez-vous, elle perd son bébé!

Juliette fermait les yeux pour penser un peu. On l'amenait dans une salle et on la fit avorter convenablement. On amenait la demoiselle dans une chambre où elle pouvait se reposer. Étrangement, Juliette était contente de l'avoir perdue. Eiji prend sa voiture et suit l'ambulance, il détestait ces personnes tout permit qui ne voulait pas qu'on monte avec une personne, il l'avait déjà vécu. Eiji était derrière l'ambulance, espérant que Juliette allait bien, il s'en voulait tellement s'il n'avait pas refusé cette enfant, les larmes coulaient le long de ses jours, le cœur serré. Il aimait Juliette plus que tout, il finit par arriver à l'hôpital et se garer puis sort de la voiture et va aux urgences

- Monsieur vous n'avez pas le droit Monsieur.

Eiji passait comme-même et chercher sa femme voulait être auprès d'elle pour lui dire qu'il voulait le garder. Il ne voulait pas seul à souffre et qu'il ferait tout pour travailler plus pour eux. Il trouvait le bloc et entre, mais plus personne n'était là, une infirmière arrive et le fait sortir.

- Où est ma femme, elle vient d'être admise.

- Votre femme ?

- Oui elle s'appelle Juliette Masato, elle vient d'être amené ici.

- Melle Mazato se trouve dans une chambre à l'étage.

Eiji montait à l'étage et demandait la chambre de sa douce et entre dans celle-ci. Bien que le fait d'avoir perdu le bébé la rende mal à l'aise, elle avait l'impression que c'était beaucoup mieux ainsi. Eiji avait raison, ce n'était pas le bon moment pour avoir des enfants, ils étaient jeunes et ils avaient toute leur vie. Assise sur son lit, fixant la fenêtre, les jambes collées contre elle, elle soupirait. Lorsque la porte s'ouvrir, elle sursautait puis elle regardait Eiji. Elle lui sourit puis elle l'invitait à venir s'asseoir à côté d'elle.

-Tu as raison... c'est mieux d'attendre...

Elle soupirait déchirée par ses paroles, mais n'en fit pas un plat. Elle savait que son amour pour Eiji pouvait tout réparer. Enfin, elle espérait.

- Eiji... tu m'aimes?

Eiji entre dans la chambre refermant la porte derrière lui, il s'approcha d'elle et viens s'asseoir à ses côtés. Il lui caressa les cheveux et l'écouta parler, bien sûr qu'il avait la nuit devant eux il était jeune et devait surtout en profiter. Et après tout viendrait tout seul. Il finit par la prendre dans ses bras et répondit à sa question :

- Bien sûr que je t'aime Juliette, pourquoi je t'aimerai plus ?

Eiji l'embrasse avec amour et tendresse et lui caresse le dos tendrement. Il voulait monter plus haut en grade pour donner une vie à sa douce, une vie où elle serait heureuse loin de cette ville qui et que conflits de tout.

- Je vais te ramener à la maison ma puce et je veux que tu te reposes compris. Quand j'aurai un meilleur grade je te ferais de très bel enfant comme tu le voudras, pour le moment je veux profiter de ma vie avec toi, rien que tous les deux.

Collée contre le torse de son amoureux, Juliette fermait les yeux pour respirer doucement son parfum et écouter ce qu'il lui disait. Elle se moquait du fait qu'il serait plus haut rang ou pas. Elle l'aimait pour ce qu'il était et non pour son argent ou son travail. Cela importait peu pour la jeune femme qui était assez aisée avec sa famille. Elle reculait et prit le visage de l'homme qu'elle aimait entre ses doigts fins.

- Je me fiche que tu sois chef ou pas Eiji, moi, je veux vivre avec l'homme que j'aime pour toute la vie, avec des enfants et je souhaite me marier. De toute façon, dans ma famille, on m'aurait déjà marié à mon cousin si je n'étais pas avec toi. Moi, je veux que ce soit toi mon époux Eiji, mais parfois. J'ai l'impression que toi... tu ne veux pas...

Elle venait de retirer ses mains des joues d'Eiji et les avait posées sur ses minces cuisses blanches. Ses yeux c'était perdu sur les carreaux du plancher. Elle n'osait plus regarder l'homme qui la rendait heureuse en face. Pourtant, elle savait qu'il l'aimait, mais quelques choses en elle l'empêchait de croire à cet amour infini. Elle soupirait puis une infirmière entrait. Elle retirait la perfusion de Juliette puis elle lui mit une ouate avec un morceau de papier collant pour le tenir en place. L'infirmière l'aidait à se lever puis Juliette lui demandait de sortir. Elle retirait la jaquette d'hôpital puis enfilait son soutien-gorge avant de remettre son chemisier. Elle était en culotte blanche devant Eiji avec son chemisier tout-simplement. Elle attrapait sa jupe puis elle vit l'horrible tâche de sang. Elle grimaçait puis l'enfilait à contrecœur.

Eiji la regard dans les yeux, s'il la voulait comme femme, bien sûr qu'il la voulait près de lui. Mais Eiji avait fait une promesse à son ex amant et en avait jamais parlé à Juliette de peu qu'elle part. Ses mains sur sa joue, sa main douce, il posa sa main sur la sienne et ferma les yeux sur ses paroles. Il re ouvrit les yeux et vit sa douce se perdre dans ces penses. Eiji resta à ses côtés jusqu'au moment une infirmière entre dans la chambre et lui retire la perfusion. La douce de Eiji se rhabille, Eiji la laisse faire, il là vie grimacé et Eiji retire son pull assez l'on est viens lui mettre sur elle pour cacher la tâche et le sert dans ses bras.

- Je n'aime que toi Juliette, je t'aime plus que tout. Je veux fonder une famille avec toi, je suis désolé, je pensais qu'à moi pardon.

Eiji sorti avec elle de la chambre et parcours les couloirs de l'hôpital, il alla à l'accueil pour remplir les papiers de sortie. Eiji les signes et une fois tout cela fait il sortie ensemble de l'hôpital, il la ramène à sa voiture. Juliette mit le pull puis elle laissa Eiji parler. Les mots n'apaisaient pas toujours et parfois, ils blessaient plus qu’autre chose. Cependant, la douce jeune femme ne dit rien. Elle regardait son amoureux puis elle lui prie la main et le suivi. Elle traînait un peu des pieds, comme si elle ne voulait pas quitter tout de suite. Elle regardait Eiji signer les papiers puis elle soupirait. Sur le mur, il y avait un babillard avec pleins de photos et d'affiches. Juliette regardait puis, elle en vie une qui parlait de sa famille. Elle l'arrache du tableau puis elle la mit dans ses poches. La demoiselle retournait vers son homme puis elle glissait ses doigts entre les siens pour le suivre jusqu'à la voiture. Elle y entrait puis elle soupirait. Comment pouvait-elle penser qu'un jour, ils se marieraient? Ils parlaient toujours de fonder une famille, avoir des enfants, mais jamais de se marier. On aurait dit que ça portait... Malheur? Elle ne demandait pas qu'Eiji la demande en mariage sur-le-champ, mais parfois, ils pourraient en parler... Bref, elle ne dit pas un mot, fixant la route devant elle.

Eiji avait déjà trop souffre dans le passer et ne voulaient pas souffrir maintenant, l'homme qui avait assassiné Evans étaient toujours en liberté et ne voudrait pas que cet homme sans prendre à Juliette. Il avait prévu beaucoup de choses aussi à cette époque, il parlait de mariage, de vivre ensemble, d'adoption, mais tout ce beau rêve c'était brisé à cause d'un homme. Eiji la rencontré alors qu'il était jeune, Son amant avait été assassiné par un tueur, il l'avait retrouvé mort à son domicile, l'homme avait été violé, torturé et tuer. Et trois ans plus tard c'était une de ses collègues qui se fit assassiner sou ses yeux d'une balle en plein cœur. Mais tout cela Juliette n'en savait rien parce que Eiji parlait très peu de son passé. Eiji avait prit la route, mais ne sachant pas trop ou aller, pense à aller cher lui avec elle. Il n'avait pas rangé son appartement. La jeune femme regardait toujours la route. Elle évitait le regard d'Eiji, elle avait l'impression qu'il pourrait lire ce qu'elle pensait et elle ne voulait pas qu'il le sache tout de suite. Ses doigts se serrèrent sur le bord de sa jupe puis son regard bleu fixait la route. Elle toussait un peu puis elle se mordit la lèvre. Son cœur battait très vite, trop vite. Elle soupirait, ouvrir un peu la fenêtre puis elle sortie l'article. Elle la dépliait et la lu, évitant toujours le regard de son copain.

- Eiji... pose-moi chez moi... J'ai besoin d'être un peu seule je crois... Je dois me remettre de tout ça...

Elle ne regardait toujours pas son copain. Elle chiffonnait l'article puis elle la glissait à nouveau dans la poche de sa jupe. Elle prie l'élastique qui était autour de son poignet et attachait ses cheveux, dévoilant son cou d'une pâleur extrême. C'était normal, elle était très pâle de nature. Tout chez Juliette était pâle. Elle n'avait rien d'une asiatique ordinaire.

Eiji restait silencieux ne sachant que dire à sa douce, après-tout rien il pense qu'il y avait rien à dire. Il la regardait de temps à autre et là vie serrée ses doigts sur le bord de sa jupe. Que lui arrivait-il se demandait Eiji. Il soupire doucement et regarde la route restant prudent et roulant à une allure correcte. Il commence à prendre le chemin de cher lui et reste surpris quand celle-ci lui demande de la déposer chez elle. Le cœur de Eiji se serait. Il retournait sa tête vers elle et la vie avec un bout d'article quelle chiffonnait et mit dans la poche de sa jupe.

Eiji lui répondit juste un « d'accord » sans chercher à comprendre. S'aimait-il vraiment tous les deux ? Où surtout l'aimait-elle vraiment Eiji je posais vraiment la question ! Etait-elle juste avec lui pour avoir un enfant. Si s'était vraiment le cas Eiji ne voulait pas d'une relation ainsi et préférait prendre sa vie d'avant. Il fit un détour et reprend la route jusqu'à chez Juliette où il arriva 20min plus tard. Il se garait et garde le contacte allumer. Eiji était dans ses pensées oubliant un peu que Juliette était encore dans la voiture.

Une fois arrivée, Juliette descendit de la voiture puis elle soupira avant de rentrer à nouveau dans la voiture. Elle attrapait Eiji par le col et le forçait à se tourner vers elle. La jeune femme l'embrassait avec amour et tendresse. C'était comme si elle voulait lui prouver son amour pour lui. Doutait-il d'elle? Elle lui avait pourtant été fidèle et attentionnée depuis qu'ils étaient ensemble. Elle posait sa main sur la joue de son amoureux puis elle le regardait. Elle s'en voulait d'être ainsi... Pourtant...

-Pardon Eiji... Je suis vraiment égoïste... Je pense juste à moi dans tout ça... C'est que je t'aime vraiment et j'ai peur que tu me laisses tomber si tu rencontres une autre femme... Je... Je ne veux pas que tu me laisses et que tu m'oublies... Je suis... Désolée...

Elle baissait la tête puis sortie de la voiture rapidement avant de monter à son appartement. Elle fermait la porte et la verrouillait. Juliette coupait le téléphone et tout ce qui pouvait la déranger. Elle restait enfermée chez elle un moment...

Un suspect écroué dans l'affaire du meurtre de Rilai Muni

Nous sommes le 3 Nouvembre. Rilai Muni, une employée de l’orphelinat d’Anejou, âgée de 28 ans, ne donne plus signe de vie depuis plusieurs jours. Inquiets, ses proches se rendent à son tout nouveau domicile situé au numéro 14 de la rue Marcel. En entrant dans l'appartement ils la découvrent morte sur son lit. Les premiers éléments de l'enquête établissent que l'appartement ne présente pas de traces d'effraction. L'autopsie du corps, qui n'a pas subi de coups, conclue à une mort par asphyxie.

Un élément de police technique et scientifique à conduit les enquêteurs jusqu'à un vigile âgé de 42 ans. Dans la nuit du 31 au 1 octobre, il surveillait un chantier tout proche du domicile de la victime. Mis en examen pour homicide volontaire, l'homme a était placé en détention à la maison d'arrêt D’Anejou au terme de sa garde à vue. S'il admet volontiers avoir rencontré Rilai Muni, il nie être l'auteur du meurtre.

Mazato

Eiji se trouvait dans le bureau de la jeune femme et lisait l'article qu'elle avait écrit un reportage sur le quelle le jeune homme travailler. Elle faisait vrai très bien son boulot, Eiji se trouvait près de le fenêtre et l'attendait comme elle se trouvait en réunion. Il n'avait pas reparlé ni vu depuis l'histoire de la fauche couche. Il voulait vraiment mettre les choses au clair. Il ne supportait plus ce silence de la jeune femme. Eiji se posait beaucoup de questions sur leur couple. Devait-il continuer ensemble ou rompre avant que tout ne face trop mal. Eiji souffrait déjà bien assez, son travail était de plus en plus dure.

- Cette semaine, il y aura beaucoup de travail, alors attendez-vous à ce que vous finissiez tard et que vous rentriez tôt le matin au boulot!

Toutes les personnes présentes dans la salle de réunion lâchaient des soupires de mécontentement... Tous... Sauf Juliette qui écrivait comme toujours un nouvel article. Elle était habituée à rester tard au boulot de toute façon. Continuant d'écrire, oubliant les gens autour, elle prenait son temps et écoutait à peine ce que le patron disait. Elle ne voulait pas trop se mêler des réunions. Elle finit par se lever en même temps que ses collègues, mais reste parce que le patron veuille lui parler. Il voulait lui offrir un travail sur une nouvelle affaire de meurtre. Juliette acceptait, prit le dossier qu'il lui tendit puis elle partie vers son bureau. Elle y entrait en soupirant et sursautait en voyant Eiji près de la fenêtre. Elle en échappait presque le dossier. La jeune femme le regardait puis elle posait le dossier sur le bureau avant de regarder son amoureux. C'était très rare qu'il vienne la voir à son boulot. D’autant plus qu'ils n'avaient pas reparlé depuis la fausse couche. Juliette s'en étais pas tout à fait remit, mais elle y travaillait. C'était chose du passé maintenant mais est-ce que son couple était assez fort pour passer au travers à deux? C'était assez difficile à déterminer, d’autant que Juliette avait tout fait seule et qu'elle était très solitaire parfois mais d'une grande dépendance affective. Elle le regardait puis elle se posait sur le bureau et ouvrir le dossier en le regardant puis elle plongeait son regard sur les feuilles. Cela parlait d'un meurtre. Le meurtre d'un jeune homme dont son fiancé était dans la police. Juliette soupirait puis elle posait le dossier avant d'aller enlacer Eiji par derrière. Elle l'aimait tellement.

- Chéri...? Peux-tu me pardonner d'être distante depuis un temps ?

Eiji se trouvait devant la fenêtre dans ses penser et n'avais même pas entendu Juliette entrée. Il repensait à leur vie, leur rencontre... et se demander ce qu'il devait vraiment faire pour réparer les erreurs dût passer... voilà déjà plus d'un mois qu'il ne t'avait pas reparler et qu'il ne l'avait pas revu... pas de nouvelle rien... il se posait beaucoup de questions sur son couple avec elle. Il savait pourtant que ce n'était pas le moment de parler de leur vie, mais il en pouvait plus et voulait vraiment savoir. Il sentie qu'on l'enlaçait et sourit doucement. Cela fessait tellement longtemps qu'il n'avait pas ressenti cela. Il se retourne et la prend dans ses bras, mais ne l'embrasse pas. Il la sert tendrement savourant cet instant avec elle. Il avait été sage durant c'est un mois et n'avait rien fait avec d'autre personne parce qu'il voulait Juliette et personne d'autre. Eiji lui caresse ses cheveux gentiment et respire son doux parfum qui lui manquait. Sa douce venait de lui parler « chéri », il se mordille la lèvre à ce mot. Lui pardonner, oui peut-être...

- Mon... Ma chérie faut qu'on parle tous les deux.

Il se décale de ses bras.

- Je t'aime, tu es la femme de ma vie, j'ai vraiment besoin de toi à mes côtés. Je souhaite que l'on emménage ensemble que l'on vit tous les deux comme un vrai couple. Tu me manques, je supporte plus ton silence et ton absence.

Eiji était sincère envers elle tout ce qu'il disait était vraiment honnête, il était fou d'elle et si sa ce n'était pas une déclaration d'amour je me tue. Il s'avance vers le bureau et vie le dossier ouvert sur le bureau. Il remarquait l'affaire et s'approche pour mieux regarder. « Le meurtre d'un jeune homme » il en n’avait pas entendu parler, mais trouvait l'affaire bizarre, mais bon. Il reportait son attention vers sa douce ? Et se colle contre le bureau et la regarde.

- Je t'aime.

La demoiselle fronça les sourcils lorsqu'il commença par nom. Elle se pinçait les lèvres puis elle l'écouta attentivement. Il était son amoureux et elle l'aimait plus que tout même si parfois elle pouvait l'ignorer pendant un certain moment. Juliette aussi voulait vivre avec lui comme un vrai couple, se lever le matin en sachant qu'elle avait dormit à côté de celui qu'elle aimait. Savoir qu'elle avait des chances de passer sa vie avec un homme aussi merveilleux qu'Eiji. Cependant, en avait-elle le droit? Depuis la fausse couche, elle se remettait souvent en question, mais elle savait que même si elle devait perdre plusieurs enfants avant d'en avoir un qui resterait vivant, c'était avec Eiji qu'elle en voulait et avec personne d'autre. Elle l'aimait aussi. Elle le regarda aller vers le bureau puis elle se mordit la lèvre. Elle n'aimait pas trop qu'on fouille dans ses choses, mais étant donné qu'Eiji était son amoureux... Elle le laissa faire. Elle resta plantée là et attendit.

-Tu sais... Je suis vraiment désolée d'avoir agi ainsi... J'avais besoin de prendre du recul, de repenser à tout cela pour pouvoir me libérer de ma fausse couche et ça va vraiment mieux et encore plus, car tu es là. J'avais peur que pendant le mois... Tu ailles voir ailleurs... Je ne t'en aurais pas voulu... Loin de là... Je suis habituée de me faire trompée.

Elle soupira et s'appuya contre le bord de la fenêtre. La lumière lui donnait un air divine.

- Juliette sa suffit ne dit pas de bêtise, pourquoi je te tromperai ? Alors que je t'aime... mais si toi tu ne m'aimes pas, dit le moi franchement cela éviterait que je tourne en rond chaque jour cher moi à me morfondre sur moi-même. J'ai aimé un homme avant toi et il est mort je me suis interdit d'aimer jusqu'à notre rencontre.

Eiji sert les points le coeur se pré et viens se poser sur son fauteuil... Il aimait une autre personne et il souffrait de ne pas pourvoir être avec elle. Il détourne le regard sur le dossier et en lit quelque livre vite fait et vu le nom de son amant et se redresse brusquement et prend le dossier dans les mains. Eiji lit le dossier et je retourne vers Juliette.

- Pourquoi as-tu le dossier de Evans, ou as-tu eu cela ? Demanda Eiji d'un ton assez froid.

Eiji détestait qu'on se mêle de cette enquête, surtout de la par des journaliste même si c'était, Juliette il ne voulait pas quelle voie sa vie priver grand ouvert sur ce dossier... tout cela était une partie de sa vie. Eiji avait rencontré Evans il y a longtemps, il était tombé amoureux de lui, il ne vivait pas ensemble, mais il se voyait très souvent. C'était à ce moment la qu'il a sûr qu'il aimait les hommes, puis le jeune homme lui fit découvrir les joies du sexe entre homme et Eiji adorait le faire avec lui. Ils se sont rencontrent il avait 20 ans quand il fit la connaissance de Evans, il travaillait avec lui sur le terrain, c'est que qu'aimait Eiji. Il s'apprît à se connaître tous les deux et fini pour la première fois l'amour avec un homme, il se trouvait cher lui et avait passé une excellente soirée avec lui. Voir même une très bonne nuit. Les jours passa et Eiji était devenu fou amoureux de lui, l'homme le savait et aimait aussi Eiji. L'homme voulait lui annoncer qu'il voulait se marier avec lui et avait tout préparé.

Mais tout tourna tout autrement, un homme c'était introduit cher Evans et s'en était prie à lui... il l'avait violé et ruer de coups. Evans avait essayé de se débattre, car dans la maison on y avait trouvé des traces de lute. Eiji devait le retrouver la-bas vers 20h quand il arrive il trouva étrange que tout soit éteint que la porte soit entre ouverte. Il entra dans la maison et vu le salon dans une salle état, il l'appela plusieurs fois et monta à l'étage voir s'il le trouvait. Eiji parcourut toutes les pièces et le retrouve à terre dans la cuisine. Eiji avait lâché la bouteille qui se fracassa par terre et accours vers lui... il l'avait pris dans ses bras et Evans étaient entre la vie et la mort et avait reçût des coups de couteau un peu partout le visage ruer de blessure. Eiji avait été les secours, le jeune homme regarda Eiji lui disant qu'il l'aimait et qu'il ne pourrait jamais le rendre heureux, il sortie la boite de sa poche avec difficulté et le donne à Eiji. Les deux seuls mot qu'il prononça avant sa mort « soit heureux ». Eiji hurla de douleur, ayant son amant mort dans ses bras. Il eut du mal à le laissé au secouriste qui essaya de le ramener à la vie. Les yeux d'Eiji étaient dans un vide profond tenant la boite dans les mains.

Il resta un long moment chez Evans et avait du mal à sans remettre, celui qu'il aimait et qui voulait l'épouser était mort dans ses bras sans pouvoir le lui déclarer son mariage avec lui, mais Eiji compris qu'il voulait l'épouser quand il avait ouvert la boite et il y trouva une très belle alliance argenté. Les larmes coula sur les joues de Eiji et ne comprend pas pourquoi le dossier était entre les mains de sa douce. Il savait que l'affaire n'était toujours pas classé et que l'assassin de Evans n'avaient pas été retrouver. Eiji savait que si un jour il le retrouverait, il lui ferait payer sa mort. La demoiselle allait répliquer puis elle vit Eiji se lever, lire le dossier et presque lui crier dessus. Elle resta surprise. Elle resta figée, comme si elle ne voulait pas qu'il se fâche. Elle n'osait pas parler. Juliette regardait son amoureux agir. On aurait dit qu'une mauvaise scène défilait devant ses yeux. Elle s'approcha et prie le dossier. Elle le posa sur le bureau puis elle l'enlaça. Elle posa sa main sur la nuque d'Eiji.

-C'est pour faire un article commémoratif à son honneur chéri... Je... Je sais tout sur ton passé... Désolé, je t'en prie ne m'en veux pas... Je fais que mon travail... C'est comme toi, tu dois faire des enquêtes, moi aussi... Si je ne connais pas le sujet de mon article, je ne peux pas l'écrire...

Elle caressait le dos de son chéri, ne voulant pas qu'il lui en veuille.

-Je... Je ne savais pas que tu avais aimé... Un homme... Enfin ce n'est pas grave, mais je veux dire... Tu aurais pu m'en parler que tu avais vécu le deuil de ton amant... Bon sang Eiji...

Elle recula vivement. Elle avait un peu l'impression qu'il lui avait un peu caché des choses importantes de son passé. Elle l'avait appris par la presse et non par lui. Elle lui fit dos, croisant les bras sur sa poitrine.

-Tu avais peur de me le dire? Pourquoi me l'as-tu caché? Je ne te cache rien moi!

Eiji était entre la colère et la tristesse qu'on s'occupe de ce qu'il ne regarde personne. Elle lui prie le dossier des mains et le pose sur le bureau et elle vient contre lui tout en posant sa main sur sa nuque. Elle se mit à lui parler « article commémoratif à son honneur chéri » comme si c'était sa qu'il allait le faire revenir et retrouver le tueur... oui peut être que oui, mais il comprendra à Juliette et cela, il ne voulait pas.

- Non tu ne savais pas et cela et mon passé, seul quelques collègues et mon chef sont au courant. Je n'avais que 20 ans et pourquoi je devrai t'en parler il est mort alors quoi bon te dire que j'aime un homme.

Eiji ne voulait pas se disputer avec elle, mais cela était sa vie. Une vie qu'il essai de sans remettre petit à petit.

- Je n'avais pas peur de te le dire, juste que c'est mon passer... A quoi bon que tu saches que j'aimais un homme ? Qui ta demande de faire cet article ? Ton patron? J'aurai aimé être au courant, en être informé avant.

Juliette commença à se fâcher. Elle détestait qu'Eiji essai de tout lui cacher. Elle finirait par tout découvrir un jour ou l'autre. La jeune femme soupira. Elle prie le dossier et le mit à la corbeille. Elle s'installa devant son ordinateur, l'ouvrit et commença à écrire un article. Pas question qu'elle s'engueule avec lui aujourd'hui. Il ne voulait pas qu'elle fasse l'article? D'accord, elle ne le ferait pas.

-Tu ne veux pas que je fasse l'article, FINE! je ne le ferai pas, mais vient pas me dire que je n'ai pas le droit de connaître ton passé Eiji...

Elle baissa les yeux, les doigts toujours sur le clavier. Elle avait les larmes aux yeux. La demoiselle détestait qu'elle est Eiji ne soient pas d'accord sur des points communs.

-Pourquoi on doit toujours s'engueuler ?

Pourquoi ne voulait-elle pas comprendre qu'il peut avoir ses secrets, c'était sa vie d'avant et il est mort serait-elle jalouse ? Vraiment pathétique et minable si c'était cela. Il m'entendit soupir et le regarde, elle prie le dossier le mit à la corbeille, Eiji le pris très mal et viens près de bureau et récupérer le dossier l'essuyant et le colle-conte lui comment pouvait-elle faire cela.

- Comment ose tu le jetés ainsi ... mon passé reste mon passé à quoi bon le savoir...

Il la vie se mettre sur son pc et faire un autre article, il redresse la tête vers elle et la vie avec des larmes et soupir...

- On s'engueule, non toi seul croit qu'on se dispute, si je n'ai pas envie de raconter mon passé j'ai le droit tout de même. De toute façon tu sais tout puisque tu as lu le dossier je n'ai pas besoin de te raconter.

Il détestait qu'on fouille dans sa vie privé. Jamais Eiji avait fait des recherche ou autre sur elle ou sa famille car Eiji honnête. Il garda le dossier contre lui et se retourne vers la fenêtre... de toute façon a quoi bon de déclarer son amour alors qu'elle s'en fiche...

- Je vais rentrer cher moi... si tu veux passer ce soir tu es la bienvenu...

Puis Eiji se dirige vers la porte pour sortir. Après l'invitation, le silence tomba. Juliette avait laissé tomber l'article qu'elle rédigeait pour observer l'amour de sa vie. Elle était égoïste d'avoir agi ainsi et elle le savait. Cependant, elle avait l'impression que plus la relation entre elle et lui avançait, plus ils reculaient amoureusement. Seraient-ils capable de passer au travers? Juliette ce le demandait, mais elle savait que peu importe ce qu'il arriverait, Eiji serait l'homme de sa vie point final. Juliette ferma son ordinateur et regarda Eiji. Il semblait peiné par son attitude et tout.

-Eiji... Je... Désolé... Je veux tellement garder mon job que je suis prête à faire n'importe quoi pour pouvoir tout faire, pour pouvoir vivre normalement... Je ne remarque même pas que je blesse les autres... Je m'en veux chéri...

Elle le regarda, durant son petit discours, elle s'était levée, elle faisait face à lui et attendait qu'il réponde. Cependant, Juliette fut plus vite. Elle s'approcha de lui tranquillement puis elle l'enlaça, lui retirant le dossier des mains. Elle le posa sur un petit bureau près puis elle força Eiji à se retourner. Elle le regardait en soupirant.

-Si tu m'aimais toujours, embrasse moi... Sinon, va-t-en...

- Bien sûr que je t'aime Juliette plus que tout, pourquoi doutes-tu de moi ?

Eiji se retourne et la prend dans ses bras. Tendrement et l'embrasse amoureusement. Il ne voulait pas la perdre. Il l'aimait plus que tout. Il était fout d'elle.

- Juliette si je ne veux pas, que tu écris cet article c'est parce que l'homme qui a tué Evans est toujours en liberté, je ne veux pas qu'il te tue toi aussi. Je veux te protéger de lui. Me comprend tu ?

Il ne voulait pas la voir triste et lui caresse ça joue tendrement. Il la re embrasse tendrement entrant sa langue dans sa bouche et joue avec la sienne sexuellement. Il finit par le rompe et la regarde.

- Viens à la maison après ton boulot s'il te plait.

Répondant à son baiser, la jeune femme fut contente de pouvoir avoir un petit moment intime avec son amoureux. Elle fut par contre surprise par l'annonce qu'il fit. Le meurtrier d'Evans, toujours en liberté... Si elle faisait l'article, le meurtrier pourrait la tuer aussi. Son cœur se sert. Elle colla vivement son corps contre celui d'Eiji. Elle ne voulait plus quitter les bras protecteur de son copain.

-D'accord, je vais venir chez toi après le boulot...

LA demoiselle ferma les yeux puis elle se mordit la lèvre. Elle songeait à quoi faire si elle croisait l'Assassin de l'ex petit copain d'Eiji. Allait-elle le tuer?

-Eiji... arrêtez cet homme...

Alors qu'elle allait continuer à parler, son patron entra. Elle se décolla rapidement d'Eiji et lissa sa jupe. Le patron lui ordonna quelques trucs. Juliette accepta puis soupira lorsqu'il ressortit.

-Arrêtez le et tuer le...

Eiji fut content qu'elle vienne à la maison se soir, il ne l'avait pas eu pour elle depuis un long moment, il ne voulait pas coucher avec non juste passé une bonne soirée avec elle. Il lui caresse le dos tendrement et la berce, il finit par entendre la voix de sa douce. « Eiji... arrêtez cet homme... » il en fut surpris, il aimerait bien le faire, mais il ne la jamais retrouver.

- Je...

Mais à ce moment le patron de la jeune femme entra, Eiji le salua et le laisse parlez avec sa douce.

- Je ne peux pas, je ne sais même pas ou chercher, je ne sais même pas qui il est.

Il soupir doucement et viens se remettre contre la fenêtre et regarde dehors. Oui il ne connaît pas l'identité de cette assassin. Il aimerait le tuer de ses propres mains de se venger de la mort de son ex.

- Evans... dit-il a voix basse.

Il semblait perdu, perplexe. On aurait dit qu'il ne savait pas ce qu'il faisait et pourtant... La jeune femme le regarda se diriger vers la fenêtre. Elle soupira et ne bougea pas. Elle ne voulait pas trop entrer dans la vie priver d'Eiji. Elle ne fait jamais la même erreur deux fois. Cependant, elle avait une idée en tête. Le tueur, avait tué Evans, sûrement pour se venger d'Eiji ou un truc du genre. Un plan se montait dans la tête de Juliette. Si Eiji se montrait à nouveau en public avec une personne, comme étant un couple, est-ce que le tueur ressortirait?

-Eiji? Exemple que vous vous montriez avec une personne en tant que couple et que le tueur se pointerais la face... Vous pourriez l'arrêter non?

Elle resta derrière lui, à une distance respectable. Elle l'aimait tellement, qu'elle voulait qu'il soit l'homme le plus heureux du monde. Était dans ses penser et avais du mal à ne pas re penser à ce moment. Un moment très dure pour lui. Son meurtrier courait toujours dans cette ville et jamais il avait réussi à mettre la main sur lui. Il avait fait cela tellement soigneusement. Il se ressouvint du corps meurtri de Evans. Eiji sorti la chaîne qu'il avait toujours sur lui avec l'alliance accrocher dessus. Il la regarde te regarde les morts écrit dessus « à toi pour la vie »

- Je veux bien le faire, mais on ne sais même pas qui il est, comment le trouver.

Puis Eiji se retourne et la regarde.

- Ne pense même pas à cela je ne veux pas mettre ta vie en danger Juliette, cet article ne sera pas écrit un point c'est tout.

Eiji était plus qu'énerver il ne voulait pas quelle soit sa cible. A tout moment elle pouvait mourir et il ne savait pas comme il pouvait procéder. Il se rapproche d'elle et l'enlace tendrement. Il caresse ses cheveux tendrement et l'embrasse amoureusement. Passe sa main sur ses fesses et la descend vers le bas de la jupe pour la passer entre ses jambes. Juliette ne savait pas trop comment réagir face à la soudaine réaction de fureur d'Eiji et pourtant, il commença à lui caresser la fesse et à glisser sa main sous sa jupe. Elle continua de l'embrasser puis elle frissonna lorsqu'elle sentie la main de son homme remonté entre ses jambes, elle l'attrapa puis la recula, gênée. Elle regarda ailleurs puis elle se mordit la lèvre.

-Pas ici... Je t'en prie... Mon patron peut entrer à N'importe quel moment...

Elle repoussa doucement Eiji puis elle entendit son téléphone sonner. Elle répondit puis elle sentie son coeur s'arrêter. Un homme entra dans le bureau. Un sourire amusé aux lèvres. Qu'es que Frey faisait ici? Elle raccrocha puis elle soupira. Il prie la parole, demandant à Eiji qu'es qu'il foutait ici? Frey ne savait pas que Juliette et Eiji étaient en couple. C'était un peu bizarre comme couple...

- Frey, veux-tu bien te mêler de tes trucs?

- La ferme Juliette, je parle à Eiji!

- Eh oh du calme tu n'as pas besoin de lui parler ainsi Frey

- Je suis ici parce que je dois travail avec elle sur une affaire qui ne te concerne pas.

- Prends moi pour un idiot.

Il le regarde froidement et détestait ses manières monsieur l'inspecteur de police qui se croit tout permit. Il restait auprès de Juliette, Eiji me doutait que lui et sa cousine avait du mal à s'entendre. Il ne bougera pas de cette pièce, car il savait ce qu'il allait lui faire, Eiji avait déjà bien remarqué les bleus quels porté à chaque fois qu'elle le voyait. Cette fois s'il était là et il ne fera rien. Il vient s'installer sur le fauteuil et regarde les dossiers, mais il réfléchissait à ce dossier de son amant Evans. Lui tendre une piège pourquoi pas, mais Eiji ne voulait surtout pas mettre en danger sa femme. Il ne voulait pas qu'il lui arrive le même sort. Elle était toute sa vie et il l'aimait plus que tout. Il voulait une famille avec elle. Il regarde la tête et les regardent parler tous les deux sens trop écouter la conversation. Juliette ne voulait pas que son cousin reste là, surtout qu'elle ne l'aimait pas du tout et qu'il était très violent avec elle. Tout son corps tremblait légèrement puis elle essaya de se calmer. Le regard de Frey devenait de plus en plus enragé. Elle se mordit la lèvre puis baissa la tête, signe de soumission. Frey lui attrapa furieusement le bras et l'amena en dehors du bureau de sa cousine et l'amena dans un autre bureau. Il entra, ferma la porte et envoie ne gifle monumentale à Juliette.

- Qu'est-ce qui te prend d'agir ainsi? Tu ne réponds plus aux appelles, tu ne fais rien pour t'aider !

Juliette se tenait la joue, un peu surprise, mais elle ne dit rien et l'écouta. Frey l'attrapa par les épaules, fermement, entrant légèrement ses pouces dans le creux des épaules de sa cousine. Elle se mordit la lèvre puis il la poussa férocement sur une chaise et posa ses mains sur les appuies-bras pour empêcher Juliette de se lever.

- Tu le sais ce qui t'attend bientôt... Tu vas bientôt atteindre tes 22 ans, Juliette. Si tu ne te maries pas, avec une personne convenable et digne de notre famille, tu finiras mariée à un cousin éloigné !

-Non! Jamais! J'aime Eiji !

Un rire amusé s'échappa des lèvres de Frey puis il attrapa le menton de sa cousine entre ses doigts et le sert, souriant toujours. Il ressemblait à un vrai détraqué. L'homme approcha son visage de celui de Juliette puis il l'embrassa malgré les protestations de la demoiselle. Il lâcha son menton et attrapa les poignets de sa cousine puis lui sourit, amusé.

- Tu le sais qu'à ton âge, ta mère avait déjà donné naissance à 3 enfants? Cela serait triste que tu deviennes infertile par un malheureux accident, n'est-ce pas Juliette? Après tout, je te mets en garde depuis un long moment déjà... Tu sais, c'est très facile...

Il descendit sa main libre vers le ventre de Juliette, un sourire encore plus amusé aux lèvres. Il la posa doucement sur sa taille puis le caressa avant de remonter sa main vers sa poitrine. Il la caressa doucement puis lui attrapa férocement le menton une fois de plus.

- Dépêche-toi à te marier, sinon, c'est avec moi que tu te marieras et oublie Eiji... Il n'est pas pour toi !

Frey lâcha sa cousine et sortie tranquillement avant de quitter. La joue de Juliette avait légèrement enflée. Elle tremblait de peur, perdue. Eiji l'avait vu l'entraîner en dehors de son bureau, mais il resta la pour le moment, il regarda les dossier et réfléchissait à ce qu'il devait faire pour retrouver l'assassin de Evans. Il soupir et feuille le dossier une nouvelle fois.

« Evans qui à bien pu te faire cela »

Il trouvait que leur discuter était long et Eiji finit par se redresse refermant le dossier et sort du bureau. Il se demandait où ils étaient aller, mais entendre rire. Un rire qu'il avait déjà entendu. Eiji s'avance et la porte s'ouvrir sur Frey et voyait Juliette tremblait.

-Aaaaaaaaaah

-Evite de toucher la femme que j'aime. Je sais déjà que tu la frappes et cousin ou pas je ne te laisserai pas faire.

-Lache-moi bâtard...

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Et voilà le 4e chapitre de "L'amour difficile" qui se fait énormément attendre ^^comme toutes les autre fic d'ailleurs ^^ la suite es en cour et sera bientôt posté. D'ici quelques heures vous aurez la suite de cette fic. Voilà voilà !!! Avez-vous aimé ce chapitre ? Avez-vous des questions ? J'y répondrais volontiers. !

Bisous à touts !

 

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