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24 septembre 2009

L'amour difficile

Chapitre 3 sous ©

Eru avait passé la soirée à danser et fêter. Il était sorti avec des amis, questions de se détendre un peu de son école. La semaine des examens approchait à grands pas et cela perturbait énormément le jeune homme et passait le plus clair de son temps à étudier, même à son travail. Lorsqu'il n'avait pas de clients, alors, il ouvrait ses bouquins et il étudiait ou dessinait. Il devait aussi rendre un travail de désigne, où il devait créer divers vêtements. Chacun devait prendre un choix de vêtements, ainsi que le sexe et Eru avait choisi la femme et prie le choix extravagant.

Il s'était levé, avec un petit mal de tête. Il prie donc quelque aspirine et se préparait. Il mit une camisole rouge qui se moulait à ses vêtements et mit par-dessus une chemise noire, possédait un dragon brodé en or dessus. Il passa dans un fast-food pour se prendre quelque chose à manger rapidement et arriva à sa boutique. Il se préparait à l'ouverture. Étant donné que le matin il n'y avait presque jamais personne, le jeune homme ouvre ses bouquins et commençait à étudier...

*Roooh.... j'ai hâte que sa finisse tout ça... j'espère qui n'aura pas trop de monde ici... ni des agrès... bon... La mode masculine avait alors un côté « féminin », les hommes portaient des « habits de femmes ». Au début de cette période, les vêtements incarnaient la facilité, la liberté et il a été marqué par une apparence pittoresque. Des règlements qui existaient depuis le XIIIe siècle déterminaient la mode : rédigés dans les communes par des magistrats et des seigneurs, ils avaient pour but de conserver les bonnes moeurs, aider sa propre industrie, se protéger des influences étrangères et de luxe inutile, mais le but principal était de conserver les différences des classes. *

Eiji travaillait que du matin et avait tout son après midi de libre et avait décidé d'aller en ville. Voir le nouveau magasin qui venait d'ouvrir et pourvoir trouvez de nouveau vêtement pour lui et sa douce. Il terminait quelques dossiers qui lui restent. Son patron ne le gâtait pas vraiment, de plus il était très apprécié de tous. Il quittait le boulot aux environ de 11h et pris sa voiture pour se rendre au centre commercial. La route était bondée à cette heure là. Ah les heures de pointe, Eiji n'était pas pressé mais bon rouler à deux a leur été pas son truc. Il arriva au bout d'un quart d'heure et se gara au parking. Eiji sorti de sa voiture et se dirigeait vers la boutique. Il entrait dans le petit magasin tout en poussant la porte de la clochette retenti. Eiji était très élégant, très grand musclé une bonne corpulence une très belle carrure...

- Bonjour dit-il

Eru travaillait dans ses livres quand il entendit la porte, du bruit de la clochette. Il sert ses affaires et fermait son livre et se levait pour aller accueillir le client. Il lui fit son plus beau sourire qu'il pouvait faire. Dans ce genre de milieu de travail, il fallait sourire et être au service de son client. Comme habituellement, il regardait l'homme de la tête au pied. Il débutait par les cheveux. De magnifiques grands cheveux noirs, accompagné de magnifiques yeux bleus percent. Il n'était pas très gros, mais il était grand. Une peau assez pâle qui, avec des vêtements foncés, cet homme aurait l'air d'un cadavre. Dans son métier, Eru devait trouver tout ce qui irait avec chaque personne et chaque couleur du corps. Pour une personne au teint pale, nous donnons des vêtements de couleur vive, pour une personne au teint foncé, des couleurs pâles ou noires. Et lorsque la personne était bien agacée physiquement, alors tout y allait.

- Bonjour... puis-je vous aider? 

Dans sa boutique, il y avait des vêtements pour tout, hommes et femmes, mais, Eru avait fait en sorte que cette boutique soit surtout pour les hommes, étant donné des clients qu'il aurait. Eiji était très bien accueillie le jeune garçon faisait bien son boulot et Eiji étaient là pour se trouver de nouveau vêtement qui le changerait un peu, mais resterait dans son style. Il sourit au jeune homme et vient vers lui. Celui-ci était très beau garçon, mais un peu jeune. Eiji adore entre habiller avec des pantalons un peu large... mais un peu a pince. Alors qu'il était en train de reposer le pantalon qui avait attiré son intention, quelqu'un venait de lui adresser la parole. Décidément, c'était très moyen comme début de journée, mais il devait positive. De toute façon, il était là, pour acheter, il restait au milieu de l'allée, ne sachant pas quoi faire. Lorsqu'il reculait d'un pas, surpris puis détournait la tête vers l'inconnue. C'était un très beau jeune homme, il était plutôt petit, enfin par rapport à lui. Pendant un moment, de son regard couleur jade, il parcourra le visage de celle-ci. De court cheveux bruns et des yeux noisette particulièrement intense. Lorsqu'il lui demandait s'il avait besoin d'aide, il sourit timidement. Le sourire qu'il lui adresse, le ne gênait pas vraiment.

- Je cherche des vêtements assez classe et du nouveau style pour moi j'ai vu aussi que vous avez des vêtements pour femme et j'aimerais offrir quelque chose pour une amie vous pouvez m'aider à choisir ?

Le jeune homme trouvait bien beau cet homme mais, il savait qu'il était déjà prie. Comment le savait-il? Par sa façon d'agir. Même s'il recherchait des vêtements, il voyait cette petite lueur que tous gens amoureux possédaient dans leurs yeux. De plus, lorsqu'il le regardait, se fût simplement pour regarder à quoi pouvait bien ressembler à Eru. Il avait ouvert ce magasin pour satisfaire les gens de cette ville et de plus, ici, il pourrait bientôt y vendre ses propres créations. Mais, le jeune homme se demandait encore si vraiment il allait y passer la vie. Qui sait, peut-être allait-il finir par ouvrir une compagnie et qu'il allait ainsi faire suivre les gens le monde. Le jeune homme lui dit alors qu'il cherchait à avoir de nouveaux vêtements assez stylés et de plus il voulait quelques vêtements pour sa copine. Il continuait donc la conversation.

- Cela dépend de plusieurs choses... parlez-moi de vos goûts et des goûts de votre copine et ainsi de la taille de ce qu'elle porte...

On pouvait dire que Eiji était amoureux et sa ne passait pas inaperçu, mais il avait toujours autant son charme d'homme gay aussi et cela se voyait très bien... sa vie avait beaucoup changé depuis qu'il a Juliette et n'était pas retourné vers un homme depuis... ce jeune vendeur avait son charme il en faisait fondre plus d'un même Eiji avait du mal à résister à son charme. Les goûts de Eiji, il réfléchissait un peu et se regardait dans un des miroirs qui se trouvait accoté à se regarder. Il faisait vraiment vieux avec ses vêtements là, il n'avait pas vraiment de goût. Un style qui pourrait avec son teint, ses cheveux lui un style de jeune pour une personne qui à 25 ans.

- J'aime bien porter des chemises à rayure... et les pantalons sont plutôt des pinces de ce genre de couleur... celui était un marron noisette. Mais montrez-moi ce que vous avez et je ferai de l'essayage si cela et permis bien sûr. Dit-il d'un joli sourire. Et pour mon amie et rets souvent en tailleur de couleur blanc... mais je préférais lui trouver une très belle robe ou jupe sympathique.

Eiji attendait que le jeune homme lui trouver ce qu'il avait à lui proposer. Eru regarda donc l'homme pour savoir quel vêtements lui iraient le mieux. Il trouvait sa un peu drôle que cet homme porte de vêtements si vieux, alors qu'il avait l'air assez jeunes, peut-être vingt-deux ou vingt-trois ans. Il regardait quelque chemise dans un coin. Il prie une chemise noire qui, dessus, portait un dragon brodé en blanc. Il prie une seconde chemise, cette fois là, elle était brune, croyant que l'homme aimait cette couleur. La chemise était très belle, elle avait des motifs dessinés dessus et des petites bandes de couleurs montaient de bas en haut. Il prie alors quelques jeans délaver, en prenant la bonne taille. Et oui, Nelis n'était pas douer pour la mode pour rien. Il possédait aussi un oeil de lynx lui permettant de juger quelle taille faisait les gens.

- Voilà... vous n'avez qu'à aller essayer. Et pour votre petite amie, donnez-moi ses mesures et je lui trouverai une robe qui lui ira.

Il lui fit sont plus beaux sourire. Il le devait, c'était cela son travail. Mais, il devait s'avouer que cet homme ne lui restait pas indifférent, dommage. Il aurait bien voulu en savoir plus. C'est vrai que le jeune vendeur était vraiment très sexy et il en était pas indifférent non plus... il était avec Juliette depuis un bon moment et avait pas retoucher un homme depuis... et son appétit pour les hommes refaisait sur face et se mit à rougir. S'il le faisait-elle ne le serait jamais de plus. Il y avait personnes à la boutique et une petite partie de jambe en l'airent avec ce vendeur ne serait pas la mort après tout. Il donnait ses mensurations et lui demandait de lui apporter les affaires à la cabine puis il allait avec. Il disposait les vêtements eux un cintre approprier et ce dévêtir, restant en boxer il mit la chemise avec les motifs et mit un jean est sorti de la cabine pour se regarder dans le miroir.

*Mouai bof, je vais trop jeune dedans* 

Soupir puis retourne et mets les autres vêtements dont la chemise noire et un autre pantalon et ressort et là un sourire apparu, le jeune garçon avait bien choisi. Il se sentait alaise...ni trop serré ni trop ample ... c'était un style simple et à son goût. Eru n'était pas dû genre au coup d'un soir. Il voulait quelque chose de sérieux, de solide, quelque chose qui le ferait soupirer d'amour et il savait fort bien que ce ne soit pas dans sont milieux de travail que cela se produirait. Il ignorait que le client avait quelque idée coquine de jambe en l'air. Mais peu importe. Il ne devait pas vraiment penser à ce genre de choses. Il avait un client à servir et de plus, il avait un examen à préparer. Il laissait aller le client dans la cabine. Lorsque celui-ci sortie avec la chemise et le jean, il remarquait que cela rajeunissait trop l'homme. Il commençait à croire que ses goûts seraient à réviser, mais lorsque le policier sortie avec les autres vêtements, il eut un sourire de satisfaction. Il allait alors regarder dans les robes et en trouvait une magnifique qui coupait au genou. Elle était blanche et moulait sur le corps. Il y avait qu'une seule bretelle, qui était en diagonale de la gauche à la droite. Il l'apportait au client, avec quelques autres vêtements : un gilet blanc qui moulait sur le torse, une autre paire de jeans.

- Voilà pour vous... et j'ai aussi trouvé cette robe pour votre copine...

Il était encore à se regarder et le vit revient avec la robe qu'il lui montrait... Elle était vraiment pas mal, mais elle faisait un peu tenu soirée. Il adorait quand-même, puis il regardait le jeune homme et lui demandait ce qu'il pensait de la tenue ? Il voulait avoir son avis aussi... Il voulait vraiment plaire à sa douce et plaire à lui-même.

- Comment me trouvez-vous ?? Je ne fais pas trop gamin ?

Il se sentait viens dans les vêtements et attrapait ses cheveux et fit une tresse... oui il préférait comme-ça avec ses vêtements là. Il fit un sourire au jeune vendeur et rentra dans la cabine et lui fit un clin d’œil. Eiji avait vraiment envie de s'amuser un peu et avait du mal a retiré le pantalon soit disant et demanda au jeune vendeur de vernir l'aider, car la braguette ne voulait pas s'ouvrir.

Eru espérait que les vêtements satisferaient le client. Il ne voulait pas être méchant mais, il aurait bien voulu pouvoir continuer son travail. Mais, il ne pouvait pas s'empêcher de remarquer que tout allait bien à cet homme et quelque chose en lui se réveillait. Il avait tellement mis de côté ses désirs qu'elles étaient en train d'exploser. Et lorsque le policier lui demandait s'il ne faisait pas trop gamin, il rougit. Il lui dit même que cela lui donnait un petit genre, ce qui le fit encore plus rougir. Et lorsque Eiji lui demandait son aide pour sa braguette, il ne savait plus à quoi pensé... Devait-il refuser et respecter ses valeurs? Où, pouvait-il se permettre de les bafouer pour une fois? Le clin d’œil du client n'avait rien arrangé. Il s'approchait alors de la cabine et l'ouvrir pour la pénétrer en la refermant.

- Laissez-moi voir...

Eiji le vit entre dans la cabine et sourit doucement et le plaqua contre le mur de la cabine et vient l'embrasser... oui se jeune vendeur lui fessait vraiment de l'effet et même si ce n'était pas bien pour lui il le savait, mais les pulsions d'autre parler plus vitre qu'il réagissait... après tout ça serait qu'une fois et Juliette le serra jamais... Eiji approfondit donc le baiser et réussit à entrée sa langue dans sa bouche pour aller caresser celle de son partenaire... d'un côté aussi c'était pour le remercie de l'avoir aidé à trouver des vêtements sympas. Il se collait un peu plus à lui collant son étain déjà viens gonfle contre lui...

- Tu es vraiment mignon et très excitant comme garçon, j'ai un peu du mal à me contrôler.

Cela n'était pas dans les habitudes d'Eru de faire des choses comme cela. C’était des mœurs que le jeune homme ne voulait pas adopter. Cela avait un lien avec son passé. Mais, comme il se disait toujours ''Je ne suis pas faits en bois quand même...'' Au début, il paniqua un peu lorsque le client le plaqua contre le mur. Il avait eu peur, mais le baiser avait eu raison de lui. Il avait tenu fermement sa bouche fermée jusqu'à finir par céder. Le policier embrassait si bien et ses caresses étaient si douces. Comment résister? S'il ne le disait à personne, personne saurait que même Eru avait fini par céder à des avances d'un inconnu. Il enroulait alors ses bras autour du cou de son client pour l'aider à mieux se blottir contre lui. Lorsque Eiji lui avouait qu'il le trouvait très excitant et qu'il avait de la difficulté à se contrôler, il lui répondit...

- Habituellement je ne suis pas un mec facile... mais... vous êtes en plein mon genre... c'est difficile de vous résister... mais pour votre petite amie? 

*C'est vrai... je n'ai pas pensé à elle...*

Il ne voulait pas penser à Juliette dans ce moment-là et posait un doigt pour que je jeune homme se taise, il était tous les deux et rien d'autre pour les en empêcher autant en profité. Eiji l'embrasse dans le cou passait main sa main sous son haut venant caresse son torse tendrement. C'était bien la première fois qu'il était comme-ça sur tout avec un jeune il devait avoir quoi 19 ans à peine. Il lui déboutonnait doucement descendant ses baisers sur son torse... Lui nom plus ne résistait pas à son charme. De ses autres mains viennent lui effleurer les fesses au passage et emprisonnait ses lèvres dans les siennes. Eiji laissait sa langue de son vis-à-vis entrer dans sa bouche. Leur baiser était langoureux et passionné. Le désir commençait à se faire sentir chez les deux jeunes gens. A cette vue, Eiji se senti bander et entamait un lent est sensuel strip-tease, ses vêtements glissants en douceur. Une fois complètement nue, il se rapprochait de son partenaire et prie son sexe en main. Il prie, ainsi le relais, caressant les testicules et les cuisses du jeune vendeur, le faisant languir. Sans le lâcher du regard, il commençait à donner des coups de langue sur le membre dressé, le faisant gémir encore plus fort sous ses caresses expertes. Eiji soulageant son amant avec une main et sa langue, il se masturbait de l'autre.

Eru reçut un doigt sur sa bouche pour qu'il se taise. Alors, il le suçait pour montrer au jeune homme qu'il n'avait pas à faire à un petit puceau. Peut-être qu'il n'avait pas vraiment encore connu le véritable amour. Mais du moins, il avait pu voir que le sexe n'était pas totalement identique à ce que sa famille lui avait fait voir. Depuis qu'il avait su que son père était à la fois son père, son grand-père et son oncle. Car son père était le frère de sa mère qui elle était née d'un amour incestueux de son propre mari qui avait donné un enfant à sa femme.  Sa sœur et sa fiancée... Enfin, bref tout cela était une histoire compliquée. Le jeune homme c'était bâti une carapace pour ne plus revivre des coups d'un soir mais. Il fallait croire que cette carapace n'était pas encore assez solide... Il adorait toutes ces caresses que l'homme lui faisait. Il pouvait voir facilement qu'il était expérimenter dans le domaine. Il se laissait déshabiller par son client et rougie devant lui. L'homme put remarquer sur le corps du jeune homme un dragon rouge et or japonais sur son dos. La tête de l'animal était poser sur l'omoplate gauche. La queue de cette bête finissait sur son rein droit, en passant par la taille. Sur cette partie de sa peau, il est très sensible, du genre, lorsqu'une langue passe par-dessus, des frissons encore plus grands qu'ailleurs. Parcours tout son corps, ce qui causait des plaintes plus fortes lorsque le jeune homme passait sa langue et ses lèvres dessus. Mais, il rougissait plus, car en plus de cela, son corps était recouvert de cicatrice de toutes les grosseurs. Mais, le policier ne semblait pas vraiment s’attarder là-dessus. Les coups de langues de Eiji arrachaient des plaintes de plaisir au jeune homme, qui allait déposer le dos de sa main sur sa bouche pour étouffer les plaintes.

Eiji sourit légèrement en déposant de légers baisers dans le cou de son amant, remontant vers ses lèvres que cette fois il embrassait fiévreusement. La main de Eiji s'aventurait entre les cuisses du vendeur qui ne pût retenir un long gémissement rauque à moitié étouffée par leurs lèvres scellées. Le policier se séparait de lui progressivement et passait sa langue sur ses lèvres pour apprécier plus longtemps le goût particulier, un mélange de menthe. Lorsqu'il sentie la main de son amant se refermer sur sa virilité et commencer à la courtiser il ne put que s'accrocher désespérément à ses épaules et assourdir ses complaintes dans la bouche de son vis-à-vis. Doucement il baissait son pantalon ainsi que son boxer et sans attendre capturait sa douloureuse érection entre ses lèvres. Résolu à offrir le maximum de plaisirs à ce chère vendeur, préféré, il amorça des mouvements de succions rapides, ralentissant par moments afin de lui laisser le temps de profiter de ces sensations. Il le savait proche, très proche même, à en juger par les tremblements qui venaient de prendre possession de son corps. Il passa ses doigts de son autres mains sur ses testicules, les caressant délicatement. Au moment où il s'y attendait le moins, il plaçait son index entre ses bourses et son anus, à l'exact endroit où se trouvait sa prostate et pressait.

Eru n'en croyait pas ses sens... Il ne savait plus où mettre sa tête. Il y avait en ce moment trop de plaisir. Son désir de ne pas être touché par autre qu'un être aimé fut poussé au fond de son subconscient, tous ses pensées de sainte ni touchent n'existait plus. La seule chose qu'il désirait était de se faire prendre par cet homme si virile et si bon. Il savait que faire l'amour avec un inconnu et avec un être aimé donnaient des sensations différant mais, là, en ce moment, encore personne ne saurait battre ce qu'il vivait. Comme s'il avait compris, le policier embrassait le cou du jeune homme, qui était son point faible et de plus, sa peau tatouer offrait une douceur plus grande. Il pût sentir une main, venir intégrer son pantalon pour caresser sont entre jambe. Il laissait jaillir une plainte entre le baiser de cet homme. Par la suite, se fût la langue du magnifique étalon aux cheveux noir qui passait sur ses lèvres. Il avait compris qu'il avait adoré le goût de son baume à lèvre qui avait un goût de menthe. Il avait glissé sa main sur le membre dresser de son client pour le caresser, mais il n'eut pas le temps de finir qu'il se retrouva complètement nue. Il devint alors rouge et poussa une plainte de jouissance lorsque de magnifiques lèvres expertes se posa sur sa tige. Il glissait sa main sur les cheveux de Eiji, qui était si soyeux. Après quelques minutes, il sentit son corps vibré. Il sentait son éjaculation venir, mais alors qu'il ne s'y attendait pas, il sentit un doigt venir pénétrer en lui et venir caresser sa prostate, ce qui lui fit déchirer un crie de jouissance...

Après les avoir humidifiés, il pénétrait ensuite un, puis deux doigts dans la cavité étroite, tout en embrassant les chaudes lèvres de Eru. Quelques mouvements de ses doigts en lui plus tard, Eiji retirait ses doigts et mit une protection sur lui et se positionna d'une façon à pouvoir le prendre et très délicatement, commença à le pénétrer. Presque instantanément, il entendit un gémissement de douleur s'échapper des lèvres de Eru que celui-ci essaya pourtant de cacher, Eiji suspendit alors son geste, à la pensée de faire souffrir son bien aimé. Il entamait des mouvements de va-et-vient de son bassin, doucement. Peu à peu, des gémissements de plaisir remplacèrent les gémissements de douleur. Le jeune homme s'activait alors à donner de longs et lents coups de reins, qui se transformèrent bientôt en mouvements plus rapides et bien plus vigoureux. Tous deux haletaient sous le plaisir éprouvé. Lorsque les coups de reins de Eiji se firent saccader et qu'il jouit en Eru, le plaisir des deux hommes atteignait son paroxysme. Il se retirait et embrassait longuement son cadet, tout en empoignant son sexe. Après de longues caresses, le jeune vendeur se déversait dans sa main dans un ultime cri de bonheur. Eru était à l'extase avec cet homme. Il pouvait presque sentir enfin le vrai plaisir.

Au début, il regrettait son geste qui était contre sa nature, mais... Il chassait cette idée et se laissait faire. Il enroulait ses bras autour du cou de Eiji pour pouvoir mieux se blottir contre lui. Il se sentait en fait dominer et c'était ce qui l'excitait. Il adorait être sous les commandes d'un mec, d’autant plus que celui qui était là en ce moment lui faisait tourner plus que la tête. Il glissait alors une main sur son dos pour le caresser. Il remarquait que celui si sortie ses mains de sa cavité pour mettre sur son membre un condom. Il pénétrait alors en lui, ce qui fit lâcher un bruit de douleur. Eru n'avait jamais eu quelque chose d'aussi gros dans sa cavité... en fait, cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas fait l'amour alors... Il se laissait dominer totalement. Que pouvait-il faire contre cet homme qui était plus fort que lui-même ! Il haletait et pouvait sentir les mouvements qui accéléraient de plus en plus. Il poussait un crie de jouissance lorsque son orgasme atteignait son paroxysme. Il sentie la main de Eiji venir saisir son pénis pour le caresser et après quelques minutes, remplit d'halètement et de souffrance sexuelle, il se laissa déverser dans la main de Eiji. Il rougit alors et soufflait. Il le regardait et glissait sa main vers le membre virile du policier et lui enlevait la capote. Il poussait sa bouche contre son torse pour l'embrasser et mordiller ses mamelons. Il prie la main de Eiji et léchait la semence qui était dessus. Il glissait ensuite vers cette tige encore dure et le prie en pleine bouche et le suçait comme si c'était un bonbon...

Eiji était vraiment en plein bonheur ce que faisait le jeune vendeur... il était adossé contre la cabine et gémit d'un plaisir intense. Il avait les jambes écraser et de sa main, il la passait sur ses cheveux et lui caressait jusqu'à la nuque. Le jeune garçon faisait cela-ci bien qu'il finisse par se déversait dans a bouche dans un râle de plaisir. Eiji se laissait glisser contre le mur et haletait doucement tout en le regardant avec des yeux brillant de désir. Il vient ce re emparé des lèvres de son amant pour, mélangent à langue avec la sienne pou un dernier baiser. Il prie le jeune homme dans ses bras et le câlinait doucement. C'était rare de voir Eiji tendre et câlin, lui qui était si froid d'habitude. Il restait comme-ça une petite minute avant de se redresser avec lui. Il regarde le jeune garçon dans les yeux et fini par ce rhabiller.

- Merci de m'avoir trouvé des très jolis vêtements... Dit-il Eiji ressortant habiller et se recoiffait vite fait et allait l'attendre au comptoir. Eiji c'était bien amusé avec ce jeune garçon et se demandait encore ce qu'il lui avait pris de se jeter sur lui comme-ça. Après-tout ce qui le serait personnes alors autant ne rien dire du tout.

Eru était à bout de souffle mais, il voulait faire une dernière chose... sucer cet homme. Il voulait avoir en pleine bouche ce qui pendouillait entre les jambes de cet homme, pas parce qu'il voulait lui faire plaisir, simplement parce qu'il adorait cela. Il le faisait en fait pour lui et lorsque la semence se déversait en entier dans sa bouche, il avalaIT sans hésitation. Il se rendait bien compte que, compte tenu de tout refus qu'il s'était fixé, il y avait une par de lui qui était tout le contraire, fiévreux de désire, rechercher du mec idéal qui saurait le faire grimper sur un mur sans qu'il est besoin de faire semblant... non, avec Eiji c'était l'extase totale. Il vit cet homme s'écroule devant lui et venir chercher un dernier baiser et vint se blottir contre lui. Eru tremblait devant ce corps trop bien fait. Il se fit relever par le jeune homme et lui sourit. Il craquait pour lui. Il aurait tant voulu en ravoir mais, il voyait que cet homme voulait partir. Il se rhabillait lui aussi et Eiji le remerciait. Il rougit et dit :

-Mai... mai... mais de rien... ce... ce fût u... un IMM... IMMENSE plait.. Plaisir de te... ser... servire... en... en espérant... qu... que tu reviendras...

Il allait au comptoir pour faire payer le policier, mais avant même-qu'il s'en aille, il s'approchait de lui et l'agrippait au gilet pour récolter le vrai et dernier baiser. Il fixait et lui tendit son numéro de téléphone et ainsi que son cellulaire...

-Appelle... je me nomme Eru... Eru Nelis...

Eiji fut des plus surpris quand le jeune garçon l'attrapa une dernière fois pour l'embrasser, Eiji répondit au baiser de celui-ci et pris son numéro de tel avec son cellulaire. Il le regarde tendrement et repartie sans même lui dire son nom... il voulait rester un peu mystérieux ce petit Eiji, mais il savait qu'il se reverrait assez vite. Le mois de juillet était bien entamé et le ciel restait gris. Les résultats des examens de Eiji avaient été moyens et espérer profiter au maximum des vacances pour se remettre de cette année difficile avant d'entamer aux mois d'octobre sa dernière année d'inspecteur. Cependant, pour le moment, les conditions n'étaient absolument pas réunies pour que ses vacances se passent selon ses désirs. D'une part, le mauvais temps l'empêchait de sortir ou d'aller se promener et le jeune homme se sentait aussi maussade que le ciel. Mais ces caprices climatiques auraient pu être une aubaine si Juliette avait été là pour passer le temps avec lui. D'ailleurs, Eiji avait pleins d'idées pour ça ! Mais Juliette avait été envoyée en à Hokkaido pour un reportage. A dix-huit heures, alors que quelques rayons de soleil perçaient entre les nuages gris, Eiji courait sur la plage. Il aimait se dépenser et adorait courir pour se maintenir en forme. Il était habillé d'un Marcel blanc lui moulant le torse puis d'un short kaki lui arrivant jusqu'aux genoux. Ses cheveux étaient attachés en queue de chevale et avaient un sac à main accrochée à sa taille.

Eru avait attendu le coup de file de cet homme, mais en vain... il ne le reçut jamais, il ne s'était pas trop fait d'illusion et il avait enfin fini ses cours, alors. Il voulait profiter de ces merveilleux vacances qui s'offraient à lui. De plus, une magnifique journée c'était présenté. Alors, prenant un jour de congé, le jeune homme avait décidé d'aller se promener sur la plage et peut-être aussi s'y baigner. Alors, il mit un costume de bain blanc avec un dragon de broder sur le bord droit et mit une camisole blanche est sortie. Il prie soins de mettre de la crème solaire et prie une serviette. Sandale au pied, il allait à la plage et s'y dirigeait tranquillement et tentait de trouver un endroit où il serait tranquille. Sans que personne ne vienne l'interroger sur toutes les cicatrices qui parcouraient son corps. En marchant, il tombait sur une personne qu'il ne pensait jamais revoir, mais qu'au fond de lui-même, il espérait revoir et pouvoir peut-être enfin le connaître mieux. Alors qu'il marchait, il vit un homme foncé vers lui. Il figeait sur place quand il se rendit compte que c'était ce client mystérieux... Que devait-il dire? Que pouvait-il faire? Il l'ignorait, mais il affichait sont plus beaux sourire et s'approchait de lui.

- Sa.... Sa... salut... Je... je ... je n'ai pas ... eu... t... ton... co... coup ... de... de file... 

Eiji était dans ses pensées et ne fit pas attention à ce qui se passait autour de lui. Toujours a courir, il finit par apercevoir une silhouette se rapprocher de lui et un petit sourire se dessina sur ses lèvres. Il ne s'attendait pas à le retrouver ici. Eiji s'arrêtait devant lui un peu essouffler. On pouvait re marquer le corps bien muscler du policier, avec des doutes de sueur qui coulait le long de sa peau peu bronzée. Il prie donc la serviette qui se trouvait autour de son cou et s'essuyait, puis Eiji regardait le jeune garçon tendrement et le saluait.

- Bonjour Eru !! Eiji se souvenait de son nom et le saluait tendrement.

Il sortie une bouteille d'eau de son sac à main et la porta à ses lèvres et en but quelque gorgée laissant un filait coulé sur le côté de sa bouche. Le jeune policier était vraiment sexy et avait tout pour plaire, il avait un corps parfait et avait tout ce qu'il faut là ou il faut. Dommage qu'il soit déjà prie. Eiji était vraiment un jeune séduisant qui sortait avec une très belle jeune femme journaliste.

- Mon coup fils ? Il se mit à réfléchir quelque minute. Aaah oui, vraiment désolé, je n'ai pas mal était occuper c'est dernier temps et pour la robe cela plus à ma petite amie, elle était vraiment très contente. Cela te dirait de faire plus ample connaissance ? J'ai toute la fin d'après midi devant moi. Demandat Eiji sérieusement.

Eru ne pouvait pas s'empêcher de regarder les faits et gestes de ce policier qui arrivait vers lui. Il pût voir ce corps muscler contre lequel il s'était entrelacer. Il n'eut donc aucune misère à eut quelque image de lui, mais, il secoua sa tête. Il ne croyait pas vraiment avoir d'autre chance avec lui. Du moins, il pouvait être copain, mais qui sait ce que l'avenir leur réservait? Il remarquait alors ce corps musclé, couvert de sueur. Cela aidait aucunement le jeune homme qui était, après avoir eu ce coup d'un soir vraiment, mais vraiment alléchant. Il était en manque d'affection. Les gens de son école étaient tous des jeunes mecs qui passait leur temps à se vanter plutôt qu'à prouver leur mérite. Alors que ce policier, il ne l'avait connue que quelques heures, le temps d'avoir une petite sauterie. Il le regardait donc essuyer ce corps musclé... hooo qu'il aurait tant voulu le faire à la place de Eiji... Il attendit donc la réponse de Eiji! Celui si lui avouait qu'il avait été très occupé ces derniers temps. Eru le crut sur parole... Peut-être était-il naïf mais, ce regard séducteur était si sincère et, croyez le... Eru en connaissait long dans la matière. Le policier lui avouait que sa copine était contente de ce cadeau. Il sourit et répondit.

- Su... super alors... 

Et le policier proposait alors de passer la journée ensemble... Il sourit alors... pourquoi pas? Il voulait aller se baigner, mais enfin compte, il pourrait se baigner avec lui et c'est ce qu'il proposait.

- D,accord... ce... cela ne me dérange pas... ma... mais... -es... es-ce qu... que tu... tu vou... voudr...ais all... aller te bai... baigner avec moi... plus tard? 

Eiji le regardait vite fait et se mit à réfléchir un moment sur la situation de l'autre jour, il savait qu'il avait trompé Juliette et il s'en voulait arment. Il ne voulait pas que son amour le sache si elle la prenait, elle souffrirait et cela il ne souhaitait pas, il l'aimait tellement aussi. Mais ce n'était pas la faute de Eiji s'il était attiré par des hommes de plus ce n'était pas par sentiment, mais juste pas le sexe. Oui juste pour le sexe avec un homme rien de plus. Il ne voulait pas devenir comme tous les autres hommes infidèles envers leur femme et aller se morfondre devant un pacquent de bière à la main, non il ne voulait pas de cela. Il fallait qu'il reparle de ce jour la pour mettre les choses au clair avec lui et ne voulait pas que celui-ci, ce face des idées. Eiji fût sorti de ses penser par le béguètement du jeune homme qui lui proposa de se baigner un peu plus tard. Eiji n'était pas contre, mais il n'avait pas vraiment envie de se baigner. Il n'avait pas prévu de maillot bain et en acheter cela coûté cher et aller en chercher un cher lui était trop loin. Pour le moment il ne répondit pas et se posa sur le sable et regarda la mer.

- Alors que fais-tu ici, tout seul ? Demande le jeune inspecteur. 

Eiji lui avait passé la journée au bureau à faire ses rapports pour son chef. Il travaillait très dure pour réussit un jour et surtout à mettre la main sur l'assassin de son ex-petit ami. Eru avait déjà quelque doute sur ce qui s'était passé l'autre jour. Il doutait que cela se reproduise ou, que cet homme puisse avoir un quelconque sentiment envers lui. C'est vrai, il avait déjà une femme dans sa vie et c'était qu'une simple baise. Mais, au fond de lui, une petite voix criait qu'il en voulait plus, qu'il voulait être plus qu'un simple coup d'une baise que Eiji avait eu idée de faire avec lui. Non, il ne devait pas se torturer de la sorte. Et qui sait, peut-être allait-il recevoir une proposition d'être son amant, on ne sait jamais. Mais enfin, Eru était prêt à subir la suite que Eiji lui préparait. L'inspecteur lui demandait alors ce qu'il faisait ici, tout seul, sur la plage. Il rougit mais, sans bégayer, il lui dit.

-Et bien... je suis ici pour me faire bronzer et pour me baigner... et enfin... je suis seul, car aucun mec de mon école ne m'intéresse... tout ce que des vantards...

Eru compris aussi que Eiji ne voulait pas se baigner. Sans doute n'avait-il pas de costume de bain sur lui. Il eut une idée les plus perverses... il imaginait cet homme se baigner, nue, sans maillot de bain... qui sait, peut-être ce soir, s'il restait plus longtemps avec lui, ce qu'il espérait vraiment en fait. Elle arrive devant la demeure, elle là reconnaissait plus ou moins, enfin ce qu'il lui restait comme souvenir de cette demeure. Elle va jusque la porte d'entrée, elle voulut l'ouvrir, mais la porte s'ouvrit d'elle-même et un major d'homme lui sourit.

- Bienvenue madame Takato nous vous attendions tous

Elle sourit et rentrait une servante lui prie son sac et allait le mettre dans sa chambre. Le major d'homme lui retirait sa veste la mit au porte manteau et la conduisait au salo.

- Merci beaucoup.

- Si vous voulez quelque chose prévenez-nous madame et tant que j'y pense on a rapporté des dossiers pour vous ils sont dans le bureau de votre père, votre supérieur est venue les apporter hier et vous a laissé un mot

- Merci beaucoup.

Le major d'homme parti et Miko allait vers le bureau de son père. Sans les dossiers il était tel quel que dans ses souvenirs. Elle allait s'asseoir et prie le premier dossier de la pile et commençait à lire. Elle prie une liste et vit les noms des inspecteurs qui suivaient tel ou tel affaire, elle cherchait celui ou Eiji travaillait dessus. Il s'inquiétait beaucoup pour ma sœur. Depuis qu'elle était revenue Ayawill beaucoup de choses allait changer entre eux deux ! La deuxième femme de sa vie faisait son apparition. Et il allait devoir s'occuper d'elle aussi. Il a toujours aimé sa sœur même si elle le détestait. Eiji finissait donc le travail et se rendit en voiture à l'ancienne demeure de la famille Takato. Les employer était resté là-bas et son oncle avec ses trois enfants, il avait repris la maison de son frère pour quel reste ici... Eiji lui n'avait pas pût rester là-bas trop de se souvenir me hantait. Il était dans sa voiture hâte de la revoir en pleine forme, il ferait tout son possible pour elle. Eiji voyait très rarement Juliette, mais bon après-tout il n'avait pas besoin d'être tout le temps collé à elle, ils n'étaient pas mariés et il avait sa liberté. De plus il avait une relation avec un homme entre temps un jeune garçon très séduisant. Eiji voulait qu'il devienne son amant. Si sa sœur l'apprenait, il allait l'entendre, le disputé lui qui pouvait avoir une très belle vie avec Juliette il fallait qu'il couche avec un homme. 

Il finit par arrive devant la demeure et se gara vers l'autre voiture qui se trouvait déjà là. Il coupait le contacte et sorti de la voiture. Deux chiens viennent l'accueillir et sourient, il reconnaissait bien la Pouft et Mouft, les deux molosses de Oncle Sacha. Il marchait jusqu'à la porte d'entrée ou le majeur d'homme ouvrir, il lui sourit et le saluait puis il l'installait au salon où il attendait de voir sa très chère sœur. Elle était concentrée dans son travail après que deux heures trente qu'elle était dans le bureau. Elle était sortie une fois, juste, pour aller chercher deux bouteilles d'eau fraîche pour pouvoir se désaltérer. Elle avait déjà lu tous les dossiers sur lesquels son frère travaillait et elle était passée à d'autre. Elle avait fait des notes personnelles sur une autre feuille pour elle, ce qu'elle trouvait louche et d'autre chose. Elle s'appliquait à son travail. Elle entendit qu'on toquait à la porte, elle s'arrêta et leva la tête pour dire d'une voix douce

- Entrer !

Une servante entrait et s'approchait avec un grand sourire, une fois qu'elle fût près du bureau elle commença à parlé

-Votre frère vient d'arriver, il vous attend au salon

- Merci beaucoup j'y vais de ce pas

La servante partie. Miko se levait prie la bouteille avec elle et descendit au salon. Elle ouvrait la porte du salon rentre puis la referme, voit son frère et sourit.

- Bonjour Eiji, comment vas-tu ?

Elle se dirigeait vers Eiji pour lui faire la bise puis elle s'assoit dans le divan pour ne pas trop se fatiguer. Quoi qu'elle soit restée longtemps assise dans le bureau donc bougé un peu ne fait pas de mal. Elle posait la bouteille d'eau à ses pieds au cas où elle aurait soif, il faisait une chaleur impossible et heureusement qu'il y a l'air conditionné.

Il était dans le salon a regardé tour qu'il se trouvait autour de lui, son oncle avait laisse pas-mal de choses comme c'était avant. Il s'approchait de la cheminée là où avait posé des cadres de photo de lui et Miko petit et de celle de ses parents. Le pris le cadre et il se plongeait dans les souvenirs. Eiji revoyait encore le sourire de sa mère et le rire de son père. Il fallait attendre tout ce temps pour que lui et Miko redeviennent frère et sœur. Eiji entendit la porte s'ouvrir et se retourna puis l'aperçu, elle était vraiment d'une beauté et elle ressemblait à leur mère c'était surprenant. Il reposait le cadre et s'approche d'elle pour lui faire la bise, elle sentait bon le parfum et se pose sur le canapé en face d'elle.

- Comment vas-tu m'as puce ? Dis-il avec un petit sourire aux lèvres.

Il la regardait tendrement content qu'il se reparle enfin et que leur querelle soit finit, il était tant. Une servante entrait dans le salon et lui proposait s'il voulait boire quelques choses.

- Oui apporté moi un martini, jeune fille, lui répondit-il.

- Bien monsieur, je vous apporte sa de suite. Puis ce penche pour les saluts et reparti chercher ce qu'il avait demandé.

- Alors, comme va ma très chère sœur ? Et ton bébé ? Demandait-il.

La jeune femme revient avec un plateau et le déposait sur la table basse et avait mis des petites douceurs avec pour leur faire plaisir. Il se mit à sourire et la remercia. Elle avait salué la jeune femme quand elle partie. Elle lui sourit, car elle était contente de voir son frère qui était la seule famille proche, après, son oncle et ses cousins. Elle lui répondit d'une voix douce.

- Je vais très bien et le bébé aussi va bien, je suis contente d'être rentré et toi dit-moi comment vas-tu es comment va Juliette? 

Elle n'avait pas oublié la jeune fille, elle était heureuse pour eux, ils formaient un beau couple. Elle repensa a toutes les enquêtes qu'elle avait lue jusqu'à présent et il lui en restait pas mal, en tout cas assez pour passé beaucoup de temps dessus avec une bonne partie de la nuit. Elle prie une petite douceur et la mangeait doucement après elle bût un coup d'eau.

- Il y a beaucoup d'enquête en cours c'est affolant.....

Elle sourit puis se lève et va près de la cheminée et regarde le cadre. Elle regardait sa mère.

- Elle est belle sur cette photo...

Elle revient s'asseoir et pose ses mains sur son ventre, elle voulait que ce soit un petit garçon pour qu'il porte le prénom de son père. Elle avait encore un peu de mal, mais ça l'avait tellement secoué, elle était consciente qu'il n'était plus là, mais n'arrivait pas à s'y faire. Eiji était content que ça très chère sœur, allait très bien et que l'enfant qu'elle portait aussi, après tout il allait devenir tonton et il faillait qu'il l'aide comme il peu, ce dernier ne voulait pas quelle soit seule. Aux moins déjà elle n'était pas seule ici, elle vivait avec leur oncle et cousins.

- Avec Juliette je pense que tout va bien enfin, je la moins souvent, mais tu me connaissais j'ai toujours un penchant pour les hommes et je lais tromper avec un séduisant garçon. Oui je n'aurai pas dû, mais je suis ainsi, elle n'est pas au courant.

Il ne s'occupait pas de son travail quand il était en dehors du boulot pour lui, le travail et la vie privée étaient deux choses différentes. Il la vie se lever pour aller près de la cheminée là où il se trouvait dix minutes avant qu'elle arrive. Elle regardait la photo qu'il regardait de leur mère, oui elle était très belle, Eiji adorait sa mère, elle était vraiment la plus belle femme que qu'il est connu. Il se levait pour s'approcher d'elle et la prise dans ses bras pour la câliné lui montrer qu'il était là pour elle. Elle sentit Eiji qui la prenait dans ses bras et elle ferma les yeux. Sentir que son frère était là pour elle était vraiment agréable, elle était heureuse d'être auprès de lui.

- Tu ne devrais pas la tromper c'est une fille bien Eiji et puis merci d'être là pour moi, car je ne sais pas comment j'aurai fait sinon.

Elle restait blotti dans les bras de son frère, elle se sentait vraiment bien contre. Elle avait toujours les yeux fermer et commençait à s'endormir doucement puis elle les ouvre, ne voulant pas dormir maintenant pour elle c'était encre trop tôt. Elle se perdit ensuite dans ses pensées, car elle se demandait la vie qu'elle aurait eu si son mari était toujours vivant, si elle était revenue ici. Sa sœur est tout pour lui, il est heureux de la voir si bien dans mes bras, Eiji savait qu'il ne devait pas la tromper, mais c'est plus fort que lui. Il aimait autant les femmes que les hommes. Il sentit sa sœur fatiguée et la prend dans ses bras comme une princesse et la dépose sur le canapé. Avec tout ce qu'elle vient de vivre Eiji voulait quel se repose pour, sont bien et surtout cela de son enfant. Il se redresse et vient ouvrir la fenêtre du salon pour laisser entrer un peu d'air, car on étouffait. Le vent entre dans la pièce, il est frais et bon, puis il reste contre la fenêtre et aperçu son oncle arrivé. Un sourire dessine sur ses lèvres et regarde sa chère sœur.

- Notre oncle arrive, il va être très surpris de me revoir.

Oui très surpris, Eiji ne l'avait pas revu depuis des années. Il n'était qu'un gosse à l'époque où il l'avait vu et là il allait le revoir en adulte. Son oncle finit par entre dans le salon, il n'a pas changé non pas du tout. Il était grand. Sasha 47 ans et il est Ingénieur dans l'aéronautique, il vit actuellement dans cet immense manoir de la famille Takato. Le père de Eiji et Miko étaient tout le temps-là à s'occuper de lui étant enfant. Cela fait maintenant quelques années qu'ils étaient morts.

Elle fût sortie de ses pensées quand Eiji dit que leur oncle arrivait, la dernière fois qu'elle l'avait vu c'était un peu avant son départ, elle se demandait s'il avait changé ou pas. Elle était toujours assise et prend sa bouteille pour boire, elle avait soif et elle avait chaud aussi. Elle trouvait qu'il faisait vraiment trop chaud et pourtant elle portait des vêtements légers. Peut-être qu'elle faisait de la température, cela, elle ne le savait pas. Elle s'appuie dans le divan et fermait les yeux elle se souvenait de toute sa vie qu'elle avait passé dans cette maison. Elle ouvre les yeux et entend la porte d'entrée s'ouvrir et elle entend aussi des paroles qui on était échangé. Elle voulait se lever, mais en n’avait pas la force, peut être avait-elle trop travaillé aussi. Depuis qu'elle était réveillé elle avait lu énormément de dossier jusque quand son frère arrive et à part pour manger et aller aux toilettes elle n'était pas sortie.

- Eiji, quel surprise de te voir ici, dit-il en venant le prendre dans ses bras.

Il le laisse faire content de le revoir aussi, il était vraiment très beau comme homme, une élégance à charmer tout le monde. Il se recule pour le regardé et Eiji lui sourit doucement. Il attrape son menton et le regarde sur toutes les coutures.

- Tu ressembles tellement à ta mère ainsi, tu n'as jamais pensé couper tes cheveux Eiji ? Dit-il dans un ton moqueur. 

- Non je suis très bien ainsi, c'est ce qui me fait de moi, Eiji que je suis mon oncle, Dit-il en allant s'assoit sur le canapé près de sa sœur.

Eiji aperçu qu'elle avait chaud pourtant la fenêtre était ouverte et l'air passer dans la pièce ? Il vient passer doucement une main dans son cou voir si elle était chaude. Non elle était fraîche peut-être que c'était le bébé qui lui donne des bouffés de chaleur. Leur oncle n'était au courant pas ce qu'il était arrivé à sa sœur et lui avait permis de rester ici, elle était la bienvenue. Elle devait supporter leurs trois cousins. Il avait chacun leur caractère. L'un d'eux finirent par entrer dans la pièce. Kyou s'avance vers eux et vient saluer Miko en lui fessant la bise sur la joue, mais il digne regarder Eiji, comme à son habitude. Il ne dit rien et le laisse, son caractère de cochon Eiji le connaissait trop bien, car il avait le même âge.

- Tu pourrais dire bonjour à ton cousin Kyou, dit mon oncle en buvant.

- ...

Kyou reste silencieux, mais il se retourne vers son oncle.

- Ce n'est rien oncle Sasha je ne lui en veux pas, Lui dit-il.


Elle se sentait un peu étrangère puis son oncle la regardait, elle lui sourit bien entendu. Il crut avoir des illusions, mais non c'était bien Miko.

-Miko quelle bonne surprise, je suis heureux de te revoir.

-Moi aussi je suis contente de te voir mon oncle. 

Miko mit une main sur son ventre puis prend la bouteille d'eau qu'elle avait et but, car elle avait soif depuis un petit moment déjà. Elle était contente d'être dans cette demeure ça lui rappelait de bon et mauvais souvenir comme toute personne qui ont un passé un peu dur.

-Alors, dit moi il y a quoi de nouveau pour vous deux, je sais que toi tu es dans la police, mais je n'en sais pas plus et toi Miko depuis que tu es partie on n'a pas eu de nouvelle, je me demande ce qui te faire revenir.

Miko n’avait pas vraiment envie de lui expliquer ce qu'il s'était passé et pourquoi elle était là aussi. Elle avait déjà dur à le vivre comme-ça, elle ne voulait pas craquer devant eux. Eiji reste près de sa sœur content que le reste de la famille serait réuni, les deux parlaient ensembles. Alors, que Eiji demeurait près d'elle à s'en occuper un peu, les écoutant parler regardant de temps à autre un de ses cousins.

- Je trouve que tu bois beaucoup Miko, tu en as parlé au médecin ? Lui demanda t-il.

Eiji inquiet pour elle, il voulait que tout se passe bien, puis son oncle finit par poser une question à Miko. Voyant que Miko ne voulait pas parler alors il prie la parole et raconte le pourquoi de sa venue. Il s'exclama de joie quant-il sut que sa nièce était enceinte même s'il était très triste de la mort de son mari. Il vient près d'elle la prend dans ses bras et la console doucement tout en la félicitant. Kyou la félicite aussi étant contente pour elle puis, il se lève s'inclinait et sort du salon pour aller à sa chambre. Elle était contente de parler avec son oncle et que Eiji soit là pour s'occuper d'elle et la soutenir aussi puis elle entend son frère lui poser une question. Car il trouvait qu'elle buvait trop d'eau. Elle le regardait donc et sourit

- C'est normal si je bois de l'eau Eiji, tu sais, on est quand-même en était-il fait chaud et je me déshydrate vite, car de plus je nourris aussi mon bébé.

Elle le regarde tendrement, maintenant elle était bien auprès de lui et de plus il n'y avait pas de jalousie qu'il était venu. Du tout au tout elle aimait son frère puis elle pensait qu'elle avait encore des dossiers à lire pour demain. Car il fallait bien qu'elle se présente au commissariat pour que les autres sachent qui elle était. Aussi, qu'elle était leur nouveau chef. Elle regardait donc son oncle et son frère.

-Je suis désolé de ne pas rester plus longtemps avec vous mais j'ai encore du travail qui m'attend pour demain en plus donc je vous laisse messieurs.

Apparemment c'était normal et Eiji espérait qu'elle allait bien c'était le principal pour lui. De voir sa sœur en bonne santé ce qu'il voulait le plus. Eiji lui sourit tendrement et viennent la prendre dans les bras et lui fait un bisou sur le front. Un petit frère protecteur qu'il voulait être pour elle. Cela devrait être-me contraire, mais il s'avérait que sa sœur serait plus fragile que lui. Il allait être tonton bientôt et surtout il fallait trouver quelqu'un pour sa sœur pour pas quel soit seul, c'est vrai que perdre quelqu'un fait très mal, mais c'est aussi bien d'en avoir une près de soit. Il voulait voir sa sœur heureuse. Il n'avait pas que lui qui devait l'être. Il finit par entendre son portable sonnet et décroche et va près de la fenêtre pour parler, c'était Juliette qui l'appelant, elle voulait le voir apparemment c'était assez urgent. Il finit de discuter avec celle et raccroche au même moment sa sœur annonçait quelle ne restait pas et qu'elle avait du travail. Bon bien voilà que tout s'arrange. Eiji s'approche d'elle et lui refait un bisou sur le front et lui caresse les cheveux.

- Je vais devoir y allez-moi aussi Juliette veut me voir. Dit-il avec le sourire.

Puis il se retourne vers son oncle et le salut et étais très content de l'avoir vue. Il promet de repasser assez vite. Il refait un sourire à sa grande sœur et fini par sortir du salon où il récupérait sa veste, qu'il avait retiré auparavant et sort de la demeure familiale et va à sa voiture. Il la démarre et par rejoindre Juliette.

Déjà un an que la demoiselle était en couple avec Eiji. Juliette filait le parfait amour avec cet homme et parfois, elle aurait voulu que leur relation soit plus grande. Surtout avec ce qu'elle avait à lui dire. Elle avait fini de travailler puis elle avait décidé d'aller se promener. Elle marchait dans la ville, vêtue d'une jupe noire et d'un haut rouge. Elle avait changé ses escarpins à talons hauts pour des ballerines basses. Arriver devant la cathédrale, la demoiselle eût un haut le coeur. Heureusement qu'il y avait une poubelle proche. Elle se penchait au-dessus et vomit. Un passant s'attardait devant elle et l'aidait. Il lui fait boire de l'eau et lui demandait si elle voulait retourner chez elle. Juliette refusait puis elle le remerciait avant d'entrer dans la cathédrale. Elle gardait un mouchoir devant sa bouche puis elle allait vers les lampions. Elle en allumait quelques-uns uns puis elle allait s'asseoir dans le premier banc avant d'envoyer un texto à Eiji. Elle voulait lui parler. La jeune femme portait un enfant. Et oui, ce n'était pas cela son plan de carrière, mais elle portait un enfant et elle ne voudrait pas avorter. Si Eiji ne voulait pas de cet enfant, Juliette ne saurait pas quoi faire. Elle l'aimait tellement. Cependant, elle avait des convictions donc elle n'avait pas le choix de refuser d'avorter. Elle soupirait puis elle fermait les yeux. Elle sortie de son sac à mains un petit test de grossesse qu'elle avait faite quelques jours plutôt. Elle le caressait du bout des doigts puis elle se penchait, laissant quelques larmes coulées. C'était silencieux, il n'y avait personne. Elle était seule...

Eiji était toujours inspecteur de police, mais sa carrière était comme-même très haute. Il était toujours en couple avec Juliette cela fessait déjà uns ans. Il l'aime plus que tout, mais n'envisage pas encore d'avoir des enfants avec elle, puis Eiji adorait les enfants, puis qu'il s'occupe de tant à autre de sa petite-nièce. Il était un très bon tonton, mais pour lui avoir des enfants étaient encore loin, car sa carrière était sa priorité pour le moment et voulait montrer en grade pour le moment avant d'avoir un enfant.

Il avait sa journée et était passé voir Miko et sa nièce plus savoir comment elle y allait. Il avait passé la mâtiné avec eux. Le jeune inspecteur avant vingt-six ans déjà, il était heureux d'être avec cette jeune femme qu'il avait rencontrer dans cette boite de nuit, il était toujours amoureux d'elle de plus en plus chaque jour. Eiji était tendre et romantique avec elle, ce qu'il détestait le plus ce son les hommes qui s'approchent d'elle. Il était dans le salon de la demeure et il reçut un texto de sa douce lui demandant de la rejoindre vers la cathédrale du centre-ville.

- Miko je vais de voir te laisse ma douce me demande ^^ dit-il avec le sourire aux lèvres. Eiji vient poser sa nièce dans le parc à enfant et vient vers sa sœur et lui fait un bisou.

- Prends soin de toi, grand-frère et surtout d'elle

- Oui grande sœur je sais, je t'ai promis ne tant fait pas, puis Eiji sort de la maison et pris sa voiture pour aller au centre-ville.

Il était dans sa voiture et mit un peu la musique assez douce et le sourire aux lèvres, il se souvenait qu'il l'avait trompe à l'époque avec un jeune garçon d'une boutique de la ville, il n'avait jamais revu le jeune garçon depuis et l'avait avoué à Juliette pour pas lui mentir. Il l'avait fait parce qu'il ne savait pas si vrai il aimait autant cette femme, mais Eiji a fini par se rendre compte quelle était la seule personne dans son cœur. Eiji fini par arriver et se gare au parking, il sort de la voiture et se dirige vers la cathédrale qui se trouvait en haute d'une colline, Eiji entre dans l'immense batiste et met son portable en vibreur, cela fessait longtemps qu'il n'était pas entre dans une église. Il aperçoit Juliette et vient se poser à ses côtés.

- Coucou ma douce. Dit-il en l'embrassent dans le cou et viens l'embrasser sur la bouche.

Juliette fixait la statue de jésus qui était là. Elle avait l'impression qu'il la regardait. Comme si elle était le diable en personne parce qu'elle était enceinte et qu'elle n'était pas mariée ! Des larmes coulaient sur ses joues. Elle restait penchée, le bras replié sur son ventre et son autres mains retenait son mouchoir. Elle s'en voulait. D’autant plus qu'elle et Eiji avaient décidé de ne pas avoir d'enfant tout de suite.

- Je vous en prie seigneur... Je sais que ce n'est pas bien mais c'est plus fort que moi!

Elle restait là, à pleurer puis elle toussait fortement. Elle essuyait ses larmes en entendant la porte de l'église s'ouvrir puis elle vit son ange arrivé. Juliette ne lui dit rien puis elle se laissait embrasser. La demoiselle fixait le sol puis elle soupirait avant de se retourner vers Eiji tranquillement. Il était si beau. Elle prit une bonne respiration puis elle ferma les yeux avant de serrer ses mains sur le bord de sa jupe.

-Eiji... On doit parler...

Elle soupirait puis elle recommençait à fixer la statue du Christ.

- Je sais, on avait dit pas d'enfants tout de suite... Ce n'était pas une priorité... et ce n'était pas dans tes plans, ni dans les miens d'ailleurs mais... Je... je suis enceinte...

Eiji restait tétaniser d'apprendre cela, elle était enceinte, comment c'était possible, alors qu'il s'était toujours protégé. Le jeune homme restait sur le cul de savoir cela, c'était si soudain.

- Juliette comment ? Comment est-ce possible ? Lui demandait-il

Eiji n'était vraiment pas encore près à être papa même si cela lui fessait plaisir, mais c'était trop tôt pour lui pas maintenant. Il baissa sa tête doucement comme étant un peu dessus de là savoir comme cela ainsi, ça lui tombait dessus d'un coup, mais là, il ne voulait pas là devoir non plus. Il avait besoin de réfléchir à cet événement. Eiji la prend dans ses bras pour la câliné et l'embrasse dans le cou.

- J'ai besoin de temps Juliette.

Il était tout perdu là de cette annonce. Elle venait de lui tomber ainsi alors qu'il allait devoir être tout faire pour être chef, mais il n'était pas encore à là et le salaire non plus. Entre le loyer puis sa voiture à payer puis se nourrir, tout partait très vite et là si elle devait se mettre en cogner maternité cela allait être pire. Juliette ne savait pas trop quoi faire, ni trop quoi dire, mais la réaction d'Eiji la surpris un peu. Elle s'attendait à ce qu'il trouve cela formidable, qu'il accepte automatiquement mais s'en fût pas comme cela. La demoiselle ne dit, mais elle se défit doucement de celui qu'elle aimait, se retrouvant un peu plus loin dans le banc. Tenant toujours le rebord de sa jupe, Juliette se levait puis elle soupirait, croisant les bras sur sa poitrine.

-Eiji, je ne te demande pas l'impossible, juste que tu acceptes ma situation... Si tu... si tu refuses que je garde l'enfant, c'est comme si tu disais non à notre amour. Je suis déjà la risée de ma famille parce que je ne suis toujours pas mariée... Imagine... Et je refuse à tout point à avorter! Si tu ne m'aimes pas assez pour garder cet enfant... c'est que l'on n'est pas fait l'un pour l'autre... Pardon...

Elle fixait le sol puis elle déglutit en soupirant. Ce n'était pas vraiment ce qu'elle aurait dit en temps normal, étant donné, qu'elle aimait à la folie cet homme. A la folie même à en mourir qu'Eiji l'aimait, mais cela c'était si soudain, bien sûr qu'il était heureux d'avoir un enfant avec la femme qu'il aime. Mais pas dans ses circonstances, il n'avait que 26 ans, sa carrière était au même point être avait déjà du mal à vivre de ses dépenses à lui. Il voulait que leur vie à tous les deux soient beaucoup mieux que ce qu'il lui donnait à ce jour même. Eiji la vie se reculer de ses bras et compris être vite, il l'entendit parler sur un ton qui lui plaisait aucune main et elle lui posa un ultimatum. Eiji se redresse furieux et la regardait serrant les points.

- Comment oses tu me dire une chose pareille Juliette moi qui crevée d'amour pour toi, j'ai le droit de ne pas être près pour avoir un enfant et tu le savais pourtant, ta famille, ils sont stupides avec leur règle imposer... Genre je devrais t'aimer parce que tu porte mon enfant accidentellement ? Non, mais et puis quoi encore? Je t'aime parce que tu es toi, mais cela tu ne l'as pas compris... La pilule tu l’as prends Juliette et ne va pas tout me remettre sur le dos. Non ce n’est pas de ma faute que la capote c'est craqué.

Juliette figeait. Elle sentie son cœur fondre d'un seul coup. Accidentellement... La demoiselle ne sut trop quoi dire. Elle se mordit violemment la lèvre, jusqu'au sang puis une larme coula sur sa joue. Juliette se retournait et giflait Eiji. Elle se sentait trahi, mal aimée.

-Accidentellement? Je n'ai jamais pris la pilule Eiji! Ce n'est pas aujourd'hui que je vais commencer! Et qu'est que tu en sais si la capote à craquer? T'a vérifié? Je te signale que la dernière fois, nous n'étions pas protéger parce qu'on en avait pas! C'est ça que je suis pour toi? Un accident? Juste une personne qui est un accident dans ta vie? Tu me dis que tu m'aimes pour me garder près de toi? Te fout pas de moi Eiji! Je n'ai pas besoin de cela! Moi je veux le garder! Pas à cause de ma famille, je le veux cet enfant, je le désire Eiji, je veux une vie de famille, un amour infini avec un homme que j'aime!

Juliette était rouge de colère, elle pleurait encore mais c'était pire. Alors qu'elle allait continuer de parler, une douleur déchirante la traversait. Elle se pliait en deux, le souffle couper, ce retrouvant assise sur le banc de l'église. Les larmes lui montèrent aux yeux. Elle restait là, en gémissant de douleur.

Eiji la laissait cracher son venin sur lui, prenant sur lui comme toujours, sa joue lui fessait mal est une très belle marque était encrée sur sa joue. Il la regarde alors qu'elle pleurait et Eiji se rapprochait d'elle, mais il là vie se plier en deux et la fait s'assoit sur le banc

- Calme-toi Juliette... respire doucement tout en lui caressant le dos. 

Eiji savait que tout cela était encore de sa faute, il détestait se disputer avec elle il se demandait vraiment si elle était heureuse avec lui, il se disputait très souvent pour la même chose, mais Eiji devait toujours la comprend met lui pas . Il n'était pas marié, mais Eiji voulait lui faire une belle cérémonie avant cette enfant, mais tout ce qu'il avait prévu pour elle venait de tomber à l'eau. Tout lui tombait déçu d'un coup...

- Désoler de te décevoir... désoler de ne par être l'homme que tu attends que je sois...

La douleur la clouait toujours sur place. Comme si elle refusait de la faire bouger ! Juliette restait là, pliée en deux, gémissant de douleur. Les caresses de son amoureux sur son dos la faisaient frissonner, mais son mal était trop intense pour qu'elle oublie tout.

- Qu'es que tu racontes... Tu es l'homme que je désire le plus...

Elle lâcha un cri de douleur. Un mince filait de sang coulait le long de sa cuisse pour finir sur le banc. Juliette savait les symptômes... Elle était en train de faire une fausse couche. Lorsque l'enfant n'était pas désiré, souvent le corps le repoussait. Elle regarda Eiji avec un regard suppliant, essayant de cacher le sang. Elle ne voulait pas qu'il s'inquiète pour elle.

- Je... pardon, je n'aurais pas du vouloir le garder cet enfant... On s'engueule toujours par ma faute... Je suis tellement désolée...

Eiji sursautait son crie et ce rapproche d'elle, il savait que quelque chose allait pas et prend son portable et appel une ambulance. Il leur explique qu'elle avait mal et que la douleur passait pas. Il raccroche et rang son portable... elle continuait de parler et Eiji essai de la calmer doucement jusqu'au moment où il aperçu le sang. Il écarquillait les yeux et l'allongeait doucement.

- Juliette tu saignes... non me dit pas que tu es... Merde.

L'allonge sur le banc et essais de la calmer s'en voulait énormément, elle tait en train de le perdre par sa faute et Eiji prend sa main et lui sert doucement. Si elle perdait l'enfant, il savait qu'elle lui en voudrait toujours et quelle lui remettrait sur le dos. Eiji lui caresse sa joue tendrement.

- Juliette pardonne moi je ne voulais pas que ça en arrive à la, pardon...

Une ambulance arriva et deux personnes entraient dans la cathédrale et s'approcha d'eux, un jeune médecin vient s'occuper d'elle et constate bien qu'elle et en tain de perdre l'enfant et qu'elle avait aller à l'hôpital le plus vite possible pour quelle soit pris en charge rapidement. Il la mise donc sur une civière et Eiji restait à ses côtés s'en voulant.

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