L'amour difficile
Chapitre 3 sous ©
Eru avait passé la soirée à danser et fêter. Il était
sorti avec des amis, questions de se détendre un peu de son école. La semaine
des examens approchait à grands pas et cela perturbait énormément le jeune
homme et passait le plus clair de son temps à étudier, même à son travail.
Lorsqu'il n'avait pas de clients, alors, il ouvrait ses bouquins et il étudiait
ou dessinait. Il devait aussi rendre un travail de désigne, où il devait créer
divers vêtements. Chacun devait prendre un choix de vêtements, ainsi que le
sexe et Eru avait choisi la femme et prie le choix extravagant.
Il s'était levé, avec un petit mal de tête. Il prie donc
quelque aspirine et se préparait. Il mit une camisole rouge qui se moulait à
ses vêtements et mit par-dessus une chemise noire, possédait un dragon brodé en
or dessus. Il passa dans un fast-food pour se prendre quelque chose à manger
rapidement et arriva à sa boutique. Il se préparait à l'ouverture. Étant donné
que le matin il n'y avait presque jamais personne, le jeune homme ouvre ses
bouquins et commençait à étudier...
*Roooh.... j'ai hâte que sa finisse tout ça... j'espère
qui n'aura pas trop de monde ici... ni des agrès... bon... La mode masculine
avait alors un côté « féminin », les hommes portaient des « habits de femmes ».
Au début de cette période, les vêtements incarnaient la facilité, la liberté et
il a été marqué par une apparence pittoresque. Des règlements qui existaient
depuis le XIIIe siècle déterminaient la mode : rédigés dans les communes par
des magistrats et des seigneurs, ils avaient pour but de conserver les bonnes
moeurs, aider sa propre industrie, se protéger des influences étrangères et de
luxe inutile, mais le but principal était de conserver les différences des
classes. *
Eiji travaillait que du matin et avait tout son après
midi de libre et avait décidé d'aller en ville. Voir le nouveau magasin qui
venait d'ouvrir et pourvoir trouvez de nouveau vêtement pour lui et sa douce.
Il terminait quelques dossiers qui lui restent. Son patron ne le gâtait pas
vraiment, de plus il était très apprécié de tous. Il quittait le boulot aux
environ de 11h et pris sa voiture pour se rendre au centre commercial. La route
était bondée à cette heure là. Ah les heures de pointe, Eiji n'était pas pressé
mais bon rouler à deux a leur été pas son truc. Il arriva au bout d'un quart
d'heure et se gara au parking. Eiji sorti de sa voiture et se dirigeait vers la
boutique. Il entrait dans le petit magasin tout en poussant la porte de la clochette
retenti. Eiji était très élégant, très grand musclé une bonne corpulence une
très belle carrure...
- Bonjour dit-il
Eru travaillait dans ses livres quand il entendit la
porte, du bruit de la clochette. Il sert ses affaires et fermait son livre et
se levait pour aller accueillir le client. Il lui fit son plus beau sourire
qu'il pouvait faire. Dans ce genre de milieu de travail, il fallait sourire et
être au service de son client. Comme habituellement, il regardait l'homme de la
tête au pied. Il débutait par les cheveux. De magnifiques grands cheveux noirs,
accompagné de magnifiques yeux bleus percent. Il n'était pas très gros, mais il
était grand. Une peau assez pâle qui, avec des vêtements foncés, cet homme
aurait l'air d'un cadavre. Dans son métier, Eru devait trouver tout ce qui
irait avec chaque personne et chaque couleur du corps. Pour une personne au
teint pale, nous donnons des vêtements de couleur vive, pour une personne au
teint foncé, des couleurs pâles ou noires. Et lorsque la personne était bien
agacée physiquement, alors tout y allait.
- Bonjour... puis-je vous aider?
Dans sa boutique, il y avait des vêtements pour tout,
hommes et femmes, mais, Eru avait fait en sorte que cette boutique soit surtout
pour les hommes, étant donné des clients qu'il aurait. Eiji était très bien
accueillie le jeune garçon faisait bien son boulot et Eiji étaient là pour se
trouver de nouveau vêtement qui le changerait un peu, mais resterait dans son
style. Il sourit au jeune homme et vient vers lui. Celui-ci était très beau
garçon, mais un peu jeune. Eiji adore entre habiller avec des pantalons un peu
large... mais un peu a pince. Alors qu'il était en train de reposer le pantalon
qui avait attiré son intention, quelqu'un venait de lui adresser la parole. Décidément,
c'était très moyen comme début de journée, mais il devait positive. De toute
façon, il était là, pour acheter, il restait au milieu de l'allée, ne sachant
pas quoi faire. Lorsqu'il reculait d'un pas, surpris puis détournait la tête
vers l'inconnue. C'était un très beau jeune homme, il était plutôt petit, enfin
par rapport à lui. Pendant un moment, de son regard couleur jade, il parcourra
le visage de celle-ci. De court cheveux bruns et des yeux noisette
particulièrement intense. Lorsqu'il lui demandait s'il avait besoin d'aide, il
sourit timidement. Le sourire qu'il lui adresse, le ne gênait pas vraiment.
- Je cherche des vêtements assez classe et du nouveau
style pour moi j'ai vu aussi que vous avez des vêtements pour femme et j'aimerais
offrir quelque chose pour une amie vous pouvez m'aider à choisir ?
Le jeune homme trouvait bien beau cet homme mais, il
savait qu'il était déjà prie. Comment le savait-il? Par sa façon d'agir. Même
s'il recherchait des vêtements, il voyait cette petite lueur que tous gens
amoureux possédaient dans leurs yeux. De plus, lorsqu'il le regardait, se fût
simplement pour regarder à quoi pouvait bien ressembler à Eru. Il avait ouvert
ce magasin pour satisfaire les gens de cette ville et de plus, ici, il pourrait
bientôt y vendre ses propres créations. Mais, le jeune homme se demandait
encore si vraiment il allait y passer la vie. Qui sait, peut-être allait-il
finir par ouvrir une compagnie et qu'il allait ainsi faire suivre les gens le
monde. Le jeune homme lui dit alors qu'il cherchait à avoir de nouveaux
vêtements assez stylés et de plus il voulait quelques vêtements pour sa copine.
Il continuait donc la conversation.
- Cela dépend de plusieurs choses... parlez-moi de vos
goûts et des goûts de votre copine et ainsi de la taille de ce qu'elle porte...
On pouvait dire que Eiji était amoureux et sa ne passait
pas inaperçu, mais il avait toujours autant son charme d'homme gay aussi et
cela se voyait très bien... sa vie avait beaucoup changé depuis qu'il a
Juliette et n'était pas retourné vers un homme depuis... ce jeune vendeur avait
son charme il en faisait fondre plus d'un même Eiji avait du mal à résister à
son charme. Les goûts de Eiji, il réfléchissait un peu et se regardait dans un
des miroirs qui se trouvait accoté à se regarder. Il faisait vraiment vieux
avec ses vêtements là, il n'avait pas vraiment de goût. Un style qui pourrait
avec son teint, ses cheveux lui un style de jeune pour une personne qui à 25
ans.
- J'aime bien porter des chemises à rayure... et les
pantalons sont plutôt des pinces de ce genre de couleur... celui était un
marron noisette. Mais montrez-moi ce que vous avez et je ferai de l'essayage si
cela et permis bien sûr. Dit-il d'un joli sourire. Et pour mon amie et rets
souvent en tailleur de couleur blanc... mais je préférais lui trouver une très
belle robe ou jupe sympathique.
Eiji attendait que le jeune homme lui trouver ce qu'il
avait à lui proposer. Eru regarda donc l'homme pour savoir quel vêtements lui
iraient le mieux. Il trouvait sa un peu drôle que cet homme porte de vêtements
si vieux, alors qu'il avait l'air assez jeunes, peut-être vingt-deux ou
vingt-trois ans. Il regardait quelque chemise dans un coin. Il prie une chemise
noire qui, dessus, portait un dragon brodé en blanc. Il prie une seconde
chemise, cette fois là, elle était brune, croyant que l'homme aimait cette
couleur. La chemise était très belle, elle avait des motifs dessinés dessus et
des petites bandes de couleurs montaient de bas en haut. Il prie alors quelques
jeans délaver, en prenant la bonne taille. Et oui, Nelis n'était pas douer pour
la mode pour rien. Il possédait aussi un oeil de lynx lui permettant de juger
quelle taille faisait les gens.
- Voilà... vous n'avez qu'à aller essayer. Et pour votre
petite amie, donnez-moi ses mesures et je lui trouverai une robe qui lui ira.
Il lui fit sont plus beaux sourire. Il le devait, c'était
cela son travail. Mais, il devait s'avouer que cet homme ne lui restait pas
indifférent, dommage. Il aurait bien voulu en savoir plus. C'est vrai que le
jeune vendeur était vraiment très sexy et il en était pas indifférent non
plus... il était avec Juliette depuis un bon moment et avait pas retoucher un
homme depuis... et son appétit pour les hommes refaisait sur face et se mit à
rougir. S'il le faisait-elle ne le serait jamais de plus. Il y avait personnes
à la boutique et une petite partie de jambe en l'airent avec ce vendeur ne
serait pas la mort après tout. Il donnait ses mensurations et lui demandait de
lui apporter les affaires à la cabine puis il allait avec. Il disposait les
vêtements eux un cintre approprier et ce dévêtir, restant en boxer il mit la
chemise avec les motifs et mit un jean est sorti de la cabine pour se regarder
dans le miroir.
*Mouai bof, je vais trop jeune dedans*
Soupir puis retourne et mets les autres vêtements dont la
chemise noire et un autre pantalon et ressort et là un sourire apparu, le jeune
garçon avait bien choisi. Il se sentait alaise...ni trop serré ni trop ample
... c'était un style simple et à son goût. Eru n'était pas dû genre au coup
d'un soir. Il voulait quelque chose de sérieux, de solide, quelque chose qui le
ferait soupirer d'amour et il savait fort bien que ce ne soit pas dans sont
milieux de travail que cela se produirait. Il ignorait que le client avait
quelque idée coquine de jambe en l'air. Mais peu importe. Il ne devait pas
vraiment penser à ce genre de choses. Il avait un client à servir et de plus,
il avait un examen à préparer. Il laissait aller le client dans la cabine.
Lorsque celui-ci sortie avec la chemise et le jean, il remarquait que cela
rajeunissait trop l'homme. Il commençait à croire que ses goûts seraient à
réviser, mais lorsque le policier sortie avec les autres vêtements, il eut un
sourire de satisfaction. Il allait alors regarder dans les robes et en trouvait
une magnifique qui coupait au genou. Elle était blanche et moulait sur le
corps. Il y avait qu'une seule bretelle, qui était en diagonale de la gauche à
la droite. Il l'apportait au client, avec quelques autres vêtements : un gilet
blanc qui moulait sur le torse, une autre paire de jeans.
- Voilà pour vous... et j'ai aussi trouvé cette robe pour
votre copine...
Il était encore à se regarder et le vit revient avec la
robe qu'il lui montrait... Elle était vraiment pas mal, mais elle faisait un
peu tenu soirée. Il adorait quand-même, puis il regardait le jeune homme et lui
demandait ce qu'il pensait de la tenue ? Il voulait avoir son avis aussi... Il
voulait vraiment plaire à sa douce et plaire à lui-même.
- Comment me trouvez-vous ?? Je ne fais pas trop gamin ?
Il se sentait viens dans les vêtements et attrapait ses
cheveux et fit une tresse... oui il préférait comme-ça avec ses vêtements là.
Il fit un sourire au jeune vendeur et rentra dans la cabine et lui fit un clin
d’œil. Eiji avait vraiment envie de s'amuser un peu et avait du mal a retiré le
pantalon soit disant et demanda au jeune vendeur de vernir l'aider, car la
braguette ne voulait pas s'ouvrir.
Eru espérait que les vêtements satisferaient le client.
Il ne voulait pas être méchant mais, il aurait bien voulu pouvoir continuer son
travail. Mais, il ne pouvait pas s'empêcher de remarquer que tout allait bien à
cet homme et quelque chose en lui se réveillait. Il avait tellement mis de côté
ses désirs qu'elles étaient en train d'exploser. Et lorsque le policier lui
demandait s'il ne faisait pas trop gamin, il rougit. Il lui dit même que cela
lui donnait un petit genre, ce qui le fit encore plus rougir. Et lorsque Eiji
lui demandait son aide pour sa braguette, il ne savait plus à quoi pensé...
Devait-il refuser et respecter ses valeurs? Où, pouvait-il se permettre de les
bafouer pour une fois? Le clin d’œil du client n'avait rien arrangé. Il
s'approchait alors de la cabine et l'ouvrir pour la pénétrer en la refermant.
- Laissez-moi voir...
Eiji le vit entre dans la cabine et sourit doucement et
le plaqua contre le mur de la cabine et vient l'embrasser... oui se jeune
vendeur lui fessait vraiment de l'effet et même si ce n'était pas bien pour lui
il le savait, mais les pulsions d'autre parler plus vitre qu'il réagissait...
après tout ça serait qu'une fois et Juliette le serra jamais... Eiji
approfondit donc le baiser et réussit à entrée sa langue dans sa bouche pour
aller caresser celle de son partenaire... d'un côté aussi c'était pour le
remercie de l'avoir aidé à trouver des vêtements sympas. Il se collait un peu
plus à lui collant son étain déjà viens gonfle contre lui...
- Tu es vraiment mignon et très excitant comme garçon,
j'ai un peu du mal à me contrôler.
Cela n'était pas dans les habitudes d'Eru de faire des
choses comme cela. C’était des mœurs que le jeune homme ne voulait pas adopter.
Cela avait un lien avec son passé. Mais, comme il se disait toujours ''Je ne
suis pas faits en bois quand même...'' Au début, il paniqua un peu lorsque le
client le plaqua contre le mur. Il avait eu peur, mais le baiser avait eu
raison de lui. Il avait tenu fermement sa bouche fermée jusqu'à finir par
céder. Le policier embrassait si bien et ses caresses étaient si douces.
Comment résister? S'il ne le disait à personne, personne saurait que même Eru
avait fini par céder à des avances d'un inconnu. Il enroulait alors ses bras
autour du cou de son client pour l'aider à mieux se blottir contre lui. Lorsque
Eiji lui avouait qu'il le trouvait très excitant et qu'il avait de la
difficulté à se contrôler, il lui répondit...
- Habituellement je ne suis pas un mec facile... mais...
vous êtes en plein mon genre... c'est difficile de vous résister... mais pour
votre petite amie?
*C'est vrai... je n'ai pas pensé à elle...*
Il ne voulait pas penser à Juliette dans ce moment-là et
posait un doigt pour que je jeune homme se taise, il était tous les deux et
rien d'autre pour les en empêcher autant en profité. Eiji l'embrasse dans le
cou passait main sa main sous son haut venant caresse son torse tendrement.
C'était bien la première fois qu'il était comme-ça sur tout avec un jeune il
devait avoir quoi 19 ans à peine. Il lui déboutonnait doucement descendant ses
baisers sur son torse... Lui nom plus ne résistait pas à son charme. De ses
autres mains viennent lui effleurer les fesses au passage et emprisonnait ses
lèvres dans les siennes. Eiji laissait sa langue de son vis-à-vis entrer dans
sa bouche. Leur baiser était langoureux et passionné. Le désir commençait à se
faire sentir chez les deux jeunes gens. A cette vue, Eiji se senti bander et
entamait un lent est sensuel strip-tease, ses vêtements glissants en douceur.
Une fois complètement nue, il se rapprochait de son partenaire et prie son sexe
en main. Il prie, ainsi le relais, caressant les testicules et les cuisses du
jeune vendeur, le faisant languir. Sans le lâcher du regard, il commençait à
donner des coups de langue sur le membre dressé, le faisant gémir encore plus
fort sous ses caresses expertes. Eiji soulageant son amant avec une main et sa
langue, il se masturbait de l'autre.
Eru reçut un doigt sur sa bouche pour qu'il se taise.
Alors, il le suçait pour montrer au jeune homme qu'il n'avait pas à faire à un
petit puceau. Peut-être qu'il n'avait pas vraiment encore connu le véritable
amour. Mais du moins, il avait pu voir que le sexe n'était pas totalement
identique à ce que sa famille lui avait fait voir. Depuis qu'il avait su que
son père était à la fois son père, son grand-père et son oncle. Car son père
était le frère de sa mère qui elle était née d'un amour incestueux de son
propre mari qui avait donné un enfant à sa femme. Sa sœur et sa
fiancée... Enfin, bref tout cela était une histoire compliquée. Le jeune homme
c'était bâti une carapace pour ne plus revivre des coups d'un soir mais. Il
fallait croire que cette carapace n'était pas encore assez solide... Il adorait
toutes ces caresses que l'homme lui faisait. Il pouvait voir facilement qu'il
était expérimenter dans le domaine. Il se laissait déshabiller par son client
et rougie devant lui. L'homme put remarquer sur le corps du jeune homme un
dragon rouge et or japonais sur son dos. La tête de l'animal était poser sur
l'omoplate gauche. La queue de cette bête finissait sur son rein droit, en
passant par la taille. Sur cette partie de sa peau, il est très sensible, du
genre, lorsqu'une langue passe par-dessus, des frissons encore plus grands
qu'ailleurs. Parcours tout son corps, ce qui causait des plaintes plus fortes
lorsque le jeune homme passait sa langue et ses lèvres dessus. Mais, il
rougissait plus, car en plus de cela, son corps était recouvert de cicatrice de
toutes les grosseurs. Mais, le policier ne semblait pas vraiment s’attarder
là-dessus. Les coups de langues de Eiji arrachaient des plaintes de plaisir au
jeune homme, qui allait déposer le dos de sa main sur sa bouche pour étouffer
les plaintes.
Eiji sourit légèrement en déposant de légers baisers dans
le cou de son amant, remontant vers ses lèvres que cette fois il embrassait
fiévreusement. La main de Eiji s'aventurait entre les cuisses du vendeur qui ne
pût retenir un long gémissement rauque à moitié étouffée par leurs lèvres
scellées. Le policier se séparait de lui progressivement et passait sa langue
sur ses lèvres pour apprécier plus longtemps le goût particulier, un mélange de
menthe. Lorsqu'il sentie la main de son amant se refermer sur sa virilité et
commencer à la courtiser il ne put que s'accrocher désespérément à ses épaules
et assourdir ses complaintes dans la bouche de son vis-à-vis. Doucement il
baissait son pantalon ainsi que son boxer et sans attendre capturait sa
douloureuse érection entre ses lèvres. Résolu à offrir le maximum de plaisirs à
ce chère vendeur, préféré, il amorça des mouvements de succions rapides,
ralentissant par moments afin de lui laisser le temps de profiter de ces
sensations. Il le savait proche, très proche même, à en juger par les
tremblements qui venaient de prendre possession de son corps. Il passa ses
doigts de son autres mains sur ses testicules, les caressant délicatement. Au
moment où il s'y attendait le moins, il plaçait son index entre ses bourses et
son anus, à l'exact endroit où se trouvait sa prostate et pressait.
Eru n'en croyait pas ses sens... Il ne savait plus où
mettre sa tête. Il y avait en ce moment trop de plaisir. Son désir de ne pas
être touché par autre qu'un être aimé fut poussé au fond de son subconscient,
tous ses pensées de sainte ni touchent n'existait plus. La seule chose qu'il
désirait était de se faire prendre par cet homme si virile et si bon. Il savait
que faire l'amour avec un inconnu et avec un être aimé donnaient des sensations
différant mais, là, en ce moment, encore personne ne saurait battre ce qu'il vivait.
Comme s'il avait compris, le policier embrassait le cou du jeune homme, qui
était son point faible et de plus, sa peau tatouer offrait une douceur plus
grande. Il pût sentir une main, venir intégrer son pantalon pour caresser sont
entre jambe. Il laissait jaillir une plainte entre le baiser de cet homme. Par
la suite, se fût la langue du magnifique étalon aux cheveux noir qui passait
sur ses lèvres. Il avait compris qu'il avait adoré le goût de son baume à lèvre
qui avait un goût de menthe. Il avait glissé sa main sur le membre dresser de
son client pour le caresser, mais il n'eut pas le temps de finir qu'il se
retrouva complètement nue. Il devint alors rouge et poussa une plainte de
jouissance lorsque de magnifiques lèvres expertes se posa sur sa tige. Il
glissait sa main sur les cheveux de Eiji, qui était si soyeux. Après quelques
minutes, il sentit son corps vibré. Il sentait son éjaculation venir, mais
alors qu'il ne s'y attendait pas, il sentit un doigt venir pénétrer en lui et
venir caresser sa prostate, ce qui lui fit déchirer un crie de jouissance...
Après les avoir humidifiés, il pénétrait ensuite un, puis
deux doigts dans la cavité étroite, tout en embrassant les chaudes lèvres de
Eru. Quelques mouvements de ses doigts en lui plus tard, Eiji retirait ses
doigts et mit une protection sur lui et se positionna d'une façon à pouvoir le
prendre et très délicatement, commença à le pénétrer. Presque instantanément,
il entendit un gémissement de douleur s'échapper des lèvres de Eru que celui-ci
essaya pourtant de cacher, Eiji suspendit alors son geste, à la pensée de faire
souffrir son bien aimé. Il entamait des mouvements de va-et-vient de son
bassin, doucement. Peu à peu, des gémissements de plaisir remplacèrent les
gémissements de douleur. Le jeune homme s'activait alors à donner de longs et
lents coups de reins, qui se transformèrent bientôt en mouvements plus rapides
et bien plus vigoureux. Tous deux haletaient sous le plaisir éprouvé. Lorsque
les coups de reins de Eiji se firent saccader et qu'il jouit en Eru, le plaisir
des deux hommes atteignait son paroxysme. Il se retirait et embrassait
longuement son cadet, tout en empoignant son sexe. Après de longues caresses,
le jeune vendeur se déversait dans sa main dans un ultime cri de bonheur. Eru
était à l'extase avec cet homme. Il pouvait presque sentir enfin le vrai
plaisir.
Au début, il regrettait son geste qui était contre sa
nature, mais... Il chassait cette idée et se laissait faire. Il enroulait ses
bras autour du cou de Eiji pour pouvoir mieux se blottir contre lui. Il se
sentait en fait dominer et c'était ce qui l'excitait. Il adorait être sous les
commandes d'un mec, d’autant plus que celui qui était là en ce moment lui
faisait tourner plus que la tête. Il glissait alors une main sur son dos pour
le caresser. Il remarquait que celui si sortie ses mains de sa cavité pour
mettre sur son membre un condom. Il pénétrait alors en lui, ce qui fit lâcher
un bruit de douleur. Eru n'avait jamais eu quelque chose d'aussi gros dans sa
cavité... en fait, cela faisait bien longtemps qu'il n'avait pas fait l'amour
alors... Il se laissait dominer totalement. Que pouvait-il faire contre cet
homme qui était plus fort que lui-même ! Il haletait et pouvait sentir les
mouvements qui accéléraient de plus en plus. Il poussait un crie de jouissance
lorsque son orgasme atteignait son paroxysme. Il sentie la main de Eiji venir
saisir son pénis pour le caresser et après quelques minutes, remplit
d'halètement et de souffrance sexuelle, il se laissa déverser dans la main de Eiji.
Il rougit alors et soufflait. Il le regardait et glissait sa main vers le
membre virile du policier et lui enlevait la capote. Il poussait sa bouche
contre son torse pour l'embrasser et mordiller ses mamelons. Il prie la main de
Eiji et léchait la semence qui était dessus. Il glissait ensuite vers cette
tige encore dure et le prie en pleine bouche et le suçait comme si c'était un
bonbon...
Eiji était vraiment en plein bonheur ce que faisait le
jeune vendeur... il était adossé contre la cabine et gémit d'un plaisir
intense. Il avait les jambes écraser et de sa main, il la passait sur ses
cheveux et lui caressait jusqu'à la nuque. Le jeune garçon faisait cela-ci bien
qu'il finisse par se déversait dans a bouche dans un râle de plaisir. Eiji se
laissait glisser contre le mur et haletait doucement tout en le regardant avec
des yeux brillant de désir. Il vient ce re emparé des lèvres de son amant pour,
mélangent à langue avec la sienne pou un dernier baiser. Il prie le jeune homme
dans ses bras et le câlinait doucement. C'était rare de voir Eiji tendre et
câlin, lui qui était si froid d'habitude. Il restait comme-ça une petite minute
avant de se redresser avec lui. Il regarde le jeune garçon dans les yeux et
fini par ce rhabiller.
- Merci de m'avoir trouvé des très jolis vêtements... Dit-il Eiji
ressortant habiller et se recoiffait vite fait et allait l'attendre au
comptoir. Eiji c'était bien amusé avec ce jeune garçon et se demandait encore
ce qu'il lui avait pris de se jeter sur lui comme-ça. Après-tout ce qui le
serait personnes alors autant ne rien dire du tout.
Eru était à bout de souffle mais, il voulait faire une
dernière chose... sucer cet homme. Il voulait avoir en pleine bouche ce qui
pendouillait entre les jambes de cet homme, pas parce qu'il voulait lui faire
plaisir, simplement parce qu'il adorait cela. Il le faisait en fait pour lui et
lorsque la semence se déversait en entier dans sa bouche, il avalaIT sans
hésitation. Il se rendait bien compte que, compte tenu de tout refus qu'il
s'était fixé, il y avait une par de lui qui était tout le contraire, fiévreux
de désire, rechercher du mec idéal qui saurait le faire grimper sur un mur sans
qu'il est besoin de faire semblant... non, avec Eiji c'était l'extase totale.
Il vit cet homme s'écroule devant lui et venir chercher un dernier baiser et
vint se blottir contre lui. Eru tremblait devant ce corps trop bien fait. Il se
fit relever par le jeune homme et lui sourit. Il craquait pour lui. Il aurait
tant voulu en ravoir mais, il voyait que cet homme voulait partir. Il se
rhabillait lui aussi et Eiji le remerciait. Il rougit et dit :
-Mai... mai... mais de rien... ce... ce fût u... un
IMM... IMMENSE plait.. Plaisir de te... ser... servire... en... en espérant...
qu... que tu reviendras...
Il allait au comptoir pour faire payer le policier, mais
avant même-qu'il s'en aille, il s'approchait de lui et l'agrippait au gilet
pour récolter le vrai et dernier baiser. Il fixait et lui tendit son numéro de
téléphone et ainsi que son cellulaire...
-Appelle... je me nomme Eru... Eru Nelis...
Eiji fut des plus surpris quand le jeune garçon l'attrapa
une dernière fois pour l'embrasser, Eiji répondit au baiser de celui-ci et pris
son numéro de tel avec son cellulaire. Il le regarde tendrement et repartie
sans même lui dire son nom... il voulait rester un peu mystérieux ce petit
Eiji, mais il savait qu'il se reverrait assez vite. Le mois de juillet était
bien entamé et le ciel restait gris. Les résultats des examens de Eiji avaient
été moyens et espérer profiter au maximum des vacances pour se remettre de
cette année difficile avant d'entamer aux mois d'octobre sa dernière année
d'inspecteur. Cependant, pour le moment, les conditions n'étaient absolument
pas réunies pour que ses vacances se passent selon ses désirs. D'une part, le
mauvais temps l'empêchait de sortir ou d'aller se promener et le jeune homme se
sentait aussi maussade que le ciel. Mais ces caprices climatiques auraient pu
être une aubaine si Juliette avait été là pour passer le temps avec lui.
D'ailleurs, Eiji avait pleins d'idées pour ça ! Mais Juliette avait été envoyée
en à Hokkaido pour un reportage. A dix-huit heures, alors que quelques rayons
de soleil perçaient entre les nuages gris, Eiji courait sur la plage. Il aimait
se dépenser et adorait courir pour se maintenir en forme. Il était habillé d'un
Marcel blanc lui moulant le torse puis d'un short kaki lui arrivant jusqu'aux
genoux. Ses cheveux étaient attachés en queue de chevale et avaient un sac à
main accrochée à sa taille.
Eru avait attendu le coup de file de cet homme, mais en
vain... il ne le reçut jamais, il ne s'était pas trop fait d'illusion et il
avait enfin fini ses cours, alors. Il voulait profiter de ces merveilleux
vacances qui s'offraient à lui. De plus, une magnifique journée c'était présenté.
Alors, prenant un jour de congé, le jeune homme avait décidé d'aller se
promener sur la plage et peut-être aussi s'y baigner. Alors, il mit un costume
de bain blanc avec un dragon de broder sur le bord droit et mit une camisole
blanche est sortie. Il prie soins de mettre de la crème solaire et prie une
serviette. Sandale au pied, il allait à la plage et s'y dirigeait
tranquillement et tentait de trouver un endroit où il serait tranquille. Sans
que personne ne vienne l'interroger sur toutes les cicatrices qui parcouraient
son corps. En marchant, il tombait sur une personne qu'il ne pensait jamais
revoir, mais qu'au fond de lui-même, il espérait revoir et pouvoir peut-être
enfin le connaître mieux. Alors qu'il marchait, il vit un homme foncé vers lui.
Il figeait sur place quand il se rendit compte que c'était ce client
mystérieux... Que devait-il dire? Que pouvait-il faire? Il l'ignorait, mais il
affichait sont plus beaux sourire et s'approchait de lui.
- Sa.... Sa... salut... Je... je ... je n'ai pas ...
eu... t... ton... co... coup ... de... de file...
Eiji était dans ses pensées et ne fit pas attention à ce
qui se passait autour de lui. Toujours a courir, il finit par apercevoir une
silhouette se rapprocher de lui et un petit sourire se dessina sur ses lèvres.
Il ne s'attendait pas à le retrouver ici. Eiji s'arrêtait devant lui un peu
essouffler. On pouvait re marquer le corps bien muscler du policier, avec des
doutes de sueur qui coulait le long de sa peau peu bronzée. Il prie donc la
serviette qui se trouvait autour de son cou et s'essuyait, puis Eiji regardait
le jeune garçon tendrement et le saluait.
- Bonjour Eru !! Eiji se souvenait de son nom et le
saluait tendrement.
Il sortie une bouteille d'eau de son sac à main et la
porta à ses lèvres et en but quelque gorgée laissant un filait coulé sur le
côté de sa bouche. Le jeune policier était vraiment sexy et avait tout pour
plaire, il avait un corps parfait et avait tout ce qu'il faut là ou il faut.
Dommage qu'il soit déjà prie. Eiji était vraiment un jeune séduisant qui
sortait avec une très belle jeune femme journaliste.
- Mon coup fils ? Il se mit à réfléchir quelque minute.
Aaah oui, vraiment désolé, je n'ai pas mal était occuper c'est dernier temps et
pour la robe cela plus à ma petite amie, elle était vraiment très contente.
Cela te dirait de faire plus ample connaissance ? J'ai toute la fin d'après
midi devant moi. Demandat Eiji sérieusement.
Eru ne pouvait pas s'empêcher de regarder les faits et
gestes de ce policier qui arrivait vers lui. Il pût voir ce corps muscler
contre lequel il s'était entrelacer. Il n'eut donc aucune misère à eut quelque
image de lui, mais, il secoua sa tête. Il ne croyait pas vraiment avoir d'autre
chance avec lui. Du moins, il pouvait être copain, mais qui sait ce que
l'avenir leur réservait? Il remarquait alors ce corps musclé, couvert de sueur.
Cela aidait aucunement le jeune homme qui était, après avoir eu ce coup d'un
soir vraiment, mais vraiment alléchant. Il était en manque d'affection. Les
gens de son école étaient tous des jeunes mecs qui passait leur temps à se
vanter plutôt qu'à prouver leur mérite. Alors que ce policier, il ne l'avait
connue que quelques heures, le temps d'avoir une petite sauterie. Il le
regardait donc essuyer ce corps musclé... hooo qu'il aurait tant voulu le faire
à la place de Eiji... Il attendit donc la réponse de Eiji! Celui si lui avouait
qu'il avait été très occupé ces derniers temps. Eru le crut sur parole...
Peut-être était-il naïf mais, ce regard séducteur était si sincère et, croyez
le... Eru en connaissait long dans la matière. Le policier lui avouait que sa
copine était contente de ce cadeau. Il sourit et répondit.
- Su... super alors...
Et le policier proposait alors de passer la journée
ensemble... Il sourit alors... pourquoi pas? Il voulait aller se baigner, mais
enfin compte, il pourrait se baigner avec lui et c'est ce qu'il proposait.
- D,accord... ce... cela ne me dérange pas... ma...
mais... -es... es-ce qu... que tu... tu vou... voudr...ais all... aller te
bai... baigner avec moi... plus tard?
Eiji le regardait vite fait et se mit à réfléchir un
moment sur la situation de l'autre jour, il savait qu'il avait trompé Juliette
et il s'en voulait arment. Il ne voulait pas que son amour le sache si elle la
prenait, elle souffrirait et cela il ne souhaitait pas, il l'aimait tellement
aussi. Mais ce n'était pas la faute de Eiji s'il était attiré par des hommes de
plus ce n'était pas par sentiment, mais juste pas le sexe. Oui juste pour le
sexe avec un homme rien de plus. Il ne voulait pas devenir comme tous les
autres hommes infidèles envers leur femme et aller se morfondre devant un
pacquent de bière à la main, non il ne voulait pas de cela. Il fallait qu'il
reparle de ce jour la pour mettre les choses au clair avec lui et ne voulait
pas que celui-ci, ce face des idées. Eiji fût sorti de ses penser par le
béguètement du jeune homme qui lui proposa de se baigner un peu plus tard. Eiji
n'était pas contre, mais il n'avait pas vraiment envie de se baigner. Il
n'avait pas prévu de maillot bain et en acheter cela coûté cher et aller en
chercher un cher lui était trop loin. Pour le moment il ne répondit pas et se
posa sur le sable et regarda la mer.
- Alors que fais-tu ici, tout seul ? Demande le jeune
inspecteur.
Eiji lui avait passé la journée au bureau à faire ses
rapports pour son chef. Il travaillait très dure pour réussit un jour et
surtout à mettre la main sur l'assassin de son ex-petit ami. Eru avait déjà
quelque doute sur ce qui s'était passé l'autre jour. Il doutait que cela se
reproduise ou, que cet homme puisse avoir un quelconque sentiment envers lui.
C'est vrai, il avait déjà une femme dans sa vie et c'était qu'une simple baise.
Mais, au fond de lui, une petite voix criait qu'il en voulait plus, qu'il
voulait être plus qu'un simple coup d'une baise que Eiji avait eu idée de faire
avec lui. Non, il ne devait pas se torturer de la sorte. Et qui sait, peut-être
allait-il recevoir une proposition d'être son amant, on ne sait jamais. Mais
enfin, Eru était prêt à subir la suite que Eiji lui préparait. L'inspecteur lui
demandait alors ce qu'il faisait ici, tout seul, sur la plage. Il rougit mais,
sans bégayer, il lui dit.
-Et bien... je suis ici pour me faire bronzer et pour me
baigner... et enfin... je suis seul, car aucun mec de mon école ne
m'intéresse... tout ce que des vantards...
Eru compris aussi que Eiji ne voulait pas se baigner.
Sans doute n'avait-il pas de costume de bain sur lui. Il eut une idée les plus
perverses... il imaginait cet homme se baigner, nue, sans maillot de bain...
qui sait, peut-être ce soir, s'il restait plus longtemps avec lui, ce qu'il
espérait vraiment en fait. Elle arrive devant la demeure, elle là reconnaissait
plus ou moins, enfin ce qu'il lui restait comme souvenir de cette demeure. Elle
va jusque la porte d'entrée, elle voulut l'ouvrir, mais la porte s'ouvrit
d'elle-même et un major d'homme lui sourit.
- Bienvenue madame Takato nous vous attendions tous
Elle sourit et rentrait une servante lui prie son sac et
allait le mettre dans sa chambre. Le major d'homme lui retirait sa veste la mit
au porte manteau et la conduisait au salo.
- Merci beaucoup.
- Si vous voulez quelque chose prévenez-nous madame et
tant que j'y pense on a rapporté des dossiers pour vous ils sont dans le bureau
de votre père, votre supérieur est venue les apporter hier et vous a laissé un
mot
- Merci beaucoup.
Le major d'homme parti et Miko allait vers le bureau de
son père. Sans les dossiers il était tel quel que dans ses souvenirs. Elle
allait s'asseoir et prie le premier dossier de la pile et commençait à lire.
Elle prie une liste et vit les noms des inspecteurs qui suivaient tel ou tel
affaire, elle cherchait celui ou Eiji travaillait dessus. Il s'inquiétait
beaucoup pour ma sœur. Depuis qu'elle était revenue Ayawill beaucoup de choses
allait changer entre eux deux ! La deuxième femme de sa vie faisait son
apparition. Et il allait devoir s'occuper d'elle aussi. Il a toujours aimé sa
sœur même si elle le détestait. Eiji finissait donc le travail et se rendit en
voiture à l'ancienne demeure de la famille Takato. Les employer était resté
là-bas et son oncle avec ses trois enfants, il avait repris la maison de son
frère pour quel reste ici... Eiji lui n'avait pas pût rester là-bas trop de se
souvenir me hantait. Il était dans sa voiture hâte de la revoir en pleine
forme, il ferait tout son possible pour elle. Eiji voyait très rarement
Juliette, mais bon après-tout il n'avait pas besoin d'être tout le temps collé
à elle, ils n'étaient pas mariés et il avait sa liberté. De plus il avait une
relation avec un homme entre temps un jeune garçon très séduisant. Eiji voulait
qu'il devienne son amant. Si sa sœur l'apprenait, il allait l'entendre, le
disputé lui qui pouvait avoir une très belle vie avec Juliette il fallait qu'il
couche avec un homme.
Il finit par arrive devant la demeure et se gara vers
l'autre voiture qui se trouvait déjà là. Il coupait le contacte et sorti de la
voiture. Deux chiens viennent l'accueillir et sourient, il reconnaissait bien
la Pouft et Mouft, les deux molosses de Oncle Sacha. Il marchait jusqu'à la
porte d'entrée ou le majeur d'homme ouvrir, il lui sourit et le saluait puis il
l'installait au salon où il attendait de voir sa très chère sœur. Elle était
concentrée dans son travail après que deux heures trente qu'elle était dans le
bureau. Elle était sortie une fois, juste, pour aller chercher deux bouteilles
d'eau fraîche pour pouvoir se désaltérer. Elle avait déjà lu tous les dossiers
sur lesquels son frère travaillait et elle était passée à d'autre. Elle avait
fait des notes personnelles sur une autre feuille pour elle, ce qu'elle
trouvait louche et d'autre chose. Elle s'appliquait à son travail. Elle
entendit qu'on toquait à la porte, elle s'arrêta et leva la tête pour dire
d'une voix douce
- Entrer !
Une servante entrait et s'approchait avec un grand
sourire, une fois qu'elle fût près du bureau elle commença à parlé
-Votre frère vient d'arriver, il vous attend au salon
- Merci beaucoup j'y vais de ce pas
La servante partie. Miko se levait prie la bouteille avec
elle et descendit au salon. Elle ouvrait la porte du salon rentre puis la
referme, voit son frère et sourit.
- Bonjour Eiji, comment vas-tu ?
Elle se dirigeait vers Eiji pour lui faire la bise puis
elle s'assoit dans le divan pour ne pas trop se fatiguer. Quoi qu'elle soit
restée longtemps assise dans le bureau donc bougé un peu ne fait pas de mal.
Elle posait la bouteille d'eau à ses pieds au cas où elle aurait soif, il
faisait une chaleur impossible et heureusement qu'il y a l'air conditionné.
Il était dans le salon a regardé tour qu'il se trouvait
autour de lui, son oncle avait laisse pas-mal de choses comme c'était avant. Il
s'approchait de la cheminée là où avait posé des cadres de photo de lui et Miko
petit et de celle de ses parents. Le pris le cadre et il se plongeait dans les
souvenirs. Eiji revoyait encore le sourire de sa mère et le rire de son père.
Il fallait attendre tout ce temps pour que lui et Miko redeviennent frère et
sœur. Eiji entendit la porte s'ouvrir et se retourna puis l'aperçu, elle était
vraiment d'une beauté et elle ressemblait à leur mère c'était surprenant. Il
reposait le cadre et s'approche d'elle pour lui faire la bise, elle sentait bon
le parfum et se pose sur le canapé en face d'elle.
- Comment vas-tu m'as puce ? Dis-il avec un
petit sourire aux lèvres.
Il la regardait tendrement content qu'il se reparle enfin
et que leur querelle soit finit, il était tant. Une servante entrait dans le
salon et lui proposait s'il voulait boire quelques choses.
- Oui apporté moi un martini, jeune fille, lui
répondit-il.
- Bien monsieur, je vous apporte sa de suite. Puis ce penche
pour les saluts et reparti chercher ce qu'il avait demandé.
- Alors, comme va ma très chère sœur ? Et ton bébé ? Demandait-il.
La jeune femme revient avec un plateau et le déposait sur
la table basse et avait mis des petites douceurs avec pour leur faire plaisir.
Il se mit à sourire et la remercia. Elle avait salué la jeune femme quand elle
partie. Elle lui sourit, car elle était contente de voir son frère qui était la
seule famille proche, après, son oncle et ses cousins. Elle lui répondit d'une
voix douce.
- Je vais très bien et le bébé aussi va bien, je suis
contente d'être rentré et toi dit-moi comment vas-tu es comment va Juliette?
Elle n'avait pas oublié la jeune fille, elle était
heureuse pour eux, ils formaient un beau couple. Elle repensa a toutes les
enquêtes qu'elle avait lue jusqu'à présent et il lui en restait pas mal, en
tout cas assez pour passé beaucoup de temps dessus avec une bonne partie de la
nuit. Elle prie une petite douceur et la mangeait doucement après elle bût un
coup d'eau.
- Il y a beaucoup d'enquête en cours c'est affolant.....
Elle sourit puis se lève et va près de la cheminée et
regarde le cadre. Elle regardait sa mère.
- Elle est belle sur cette photo...
Elle revient s'asseoir et pose ses mains sur son ventre,
elle voulait que ce soit un petit garçon pour qu'il porte le prénom de son
père. Elle avait encore un peu de mal, mais ça l'avait tellement secoué, elle
était consciente qu'il n'était plus là, mais n'arrivait pas à s'y faire. Eiji
était content que ça très chère sœur, allait très bien et que l'enfant qu'elle
portait aussi, après tout il allait devenir tonton et il faillait qu'il l'aide
comme il peu, ce dernier ne voulait pas quelle soit seule. Aux moins déjà elle
n'était pas seule ici, elle vivait avec leur oncle et cousins.
- Avec Juliette je pense que tout va bien enfin, je la
moins souvent, mais tu me connaissais j'ai toujours un penchant pour les hommes
et je lais tromper avec un séduisant garçon. Oui je n'aurai pas dû, mais je
suis ainsi, elle n'est pas au courant.
Il ne s'occupait pas de son travail quand il était en
dehors du boulot pour lui, le travail et la vie privée étaient deux choses
différentes. Il la vie se lever pour aller près de la cheminée là où il se
trouvait dix minutes avant qu'elle arrive. Elle regardait la photo qu'il
regardait de leur mère, oui elle était très belle, Eiji adorait sa mère, elle
était vraiment la plus belle femme que qu'il est connu. Il se levait pour
s'approcher d'elle et la prise dans ses bras pour la câliné lui montrer qu'il
était là pour elle. Elle sentit Eiji qui la prenait dans ses bras et elle ferma
les yeux. Sentir que son frère était là pour elle était vraiment agréable, elle
était heureuse d'être auprès de lui.
- Tu ne devrais pas la tromper c'est une fille bien Eiji
et puis merci d'être là pour moi, car je ne sais pas comment j'aurai fait sinon.
Elle restait blotti dans les bras de son frère, elle se
sentait vraiment bien contre. Elle avait toujours les yeux fermer et commençait
à s'endormir doucement puis elle les ouvre, ne voulant pas dormir maintenant
pour elle c'était encre trop tôt. Elle se perdit ensuite dans ses pensées, car
elle se demandait la vie qu'elle aurait eu si son mari était toujours vivant,
si elle était revenue ici. Sa sœur est tout pour lui, il est heureux de la voir
si bien dans mes bras, Eiji savait qu'il ne devait pas la tromper, mais c'est
plus fort que lui. Il aimait autant les femmes que les hommes. Il sentit sa
sœur fatiguée et la prend dans ses bras comme une princesse et la dépose sur le
canapé. Avec tout ce qu'elle vient de vivre Eiji voulait quel se repose pour,
sont bien et surtout cela de son enfant. Il se redresse et vient ouvrir la
fenêtre du salon pour laisser entrer un peu d'air, car on étouffait. Le vent
entre dans la pièce, il est frais et bon, puis il reste contre la fenêtre et
aperçu son oncle arrivé. Un sourire dessine sur ses lèvres et regarde sa chère
sœur.
- Notre oncle arrive, il va être très surpris de me
revoir.
Oui très surpris, Eiji ne l'avait pas revu depuis des
années. Il n'était qu'un gosse à l'époque où il l'avait vu et là il allait le
revoir en adulte. Son oncle finit par entre dans le salon, il n'a pas changé
non pas du tout. Il était grand. Sasha 47 ans et il est Ingénieur dans
l'aéronautique, il vit actuellement dans cet immense manoir de la famille
Takato. Le père de Eiji et Miko étaient tout le temps-là à s'occuper de lui
étant enfant. Cela fait maintenant quelques années qu'ils étaient morts.
Elle fût sortie de ses pensées quand Eiji dit que leur
oncle arrivait, la dernière fois qu'elle l'avait vu c'était un peu avant son
départ, elle se demandait s'il avait changé ou pas. Elle était toujours assise
et prend sa bouteille pour boire, elle avait soif et elle avait chaud aussi.
Elle trouvait qu'il faisait vraiment trop chaud et pourtant elle portait des
vêtements légers. Peut-être qu'elle faisait de la température, cela, elle ne le
savait pas. Elle s'appuie dans le divan et fermait les yeux elle se souvenait
de toute sa vie qu'elle avait passé dans cette maison. Elle ouvre les yeux et
entend la porte d'entrée s'ouvrir et elle entend aussi des paroles qui on était
échangé. Elle voulait se lever, mais en n’avait pas la force, peut être
avait-elle trop travaillé aussi. Depuis qu'elle était réveillé elle avait lu
énormément de dossier jusque quand son frère arrive et à part pour manger et
aller aux toilettes elle n'était pas sortie.
- Eiji, quel surprise de te voir ici, dit-il en
venant le prendre dans ses bras.
Il le laisse faire content de le revoir aussi, il était
vraiment très beau comme homme, une élégance à charmer tout le monde. Il se
recule pour le regardé et Eiji lui sourit doucement. Il attrape son menton et
le regarde sur toutes les coutures.
- Tu ressembles tellement à ta mère ainsi, tu n'as jamais
pensé couper tes cheveux Eiji ? Dit-il dans un ton moqueur.
- Non je suis très bien ainsi, c'est ce qui me fait de
moi, Eiji que je suis mon oncle, Dit-il en allant s'assoit sur le
canapé près de sa sœur.
Eiji aperçu qu'elle avait chaud pourtant la fenêtre était
ouverte et l'air passer dans la pièce ? Il vient passer doucement une main dans
son cou voir si elle était chaude. Non elle était fraîche peut-être que c'était
le bébé qui lui donne des bouffés de chaleur. Leur oncle n'était au courant pas
ce qu'il était arrivé à sa sœur et lui avait permis de rester ici, elle était
la bienvenue. Elle devait supporter leurs trois cousins. Il avait chacun leur
caractère. L'un d'eux finirent par entrer dans la pièce. Kyou s'avance vers eux
et vient saluer Miko en lui fessant la bise sur la joue, mais il digne regarder
Eiji, comme à son habitude. Il ne dit rien et le laisse, son caractère de
cochon Eiji le connaissait trop bien, car il avait le même âge.
- Tu pourrais dire bonjour à ton cousin Kyou, dit mon
oncle en buvant.
- ...
Kyou reste silencieux, mais il se retourne vers son
oncle.
- Ce n'est rien oncle Sasha je ne lui en veux pas, Lui dit-il.
Elle se sentait un peu étrangère puis son oncle la
regardait, elle lui sourit bien entendu. Il crut avoir des illusions, mais non
c'était bien Miko.
-Miko quelle bonne surprise, je suis heureux de te revoir.
-Moi aussi je suis contente de te voir mon oncle.
Miko mit une main sur son ventre puis prend la bouteille
d'eau qu'elle avait et but, car elle avait soif depuis un petit moment déjà.
Elle était contente d'être dans cette demeure ça lui rappelait de bon et
mauvais souvenir comme toute personne qui ont un passé un peu dur.
-Alors, dit moi il y a quoi de nouveau pour vous deux, je
sais que toi tu es dans la police, mais je n'en sais pas plus et toi Miko
depuis que tu es partie on n'a pas eu de nouvelle, je me demande ce qui te
faire revenir.
Miko n’avait pas vraiment envie de lui expliquer ce qu'il
s'était passé et pourquoi elle était là aussi. Elle avait déjà dur à le vivre
comme-ça, elle ne voulait pas craquer devant eux. Eiji reste près de sa sœur
content que le reste de la famille serait réuni, les deux parlaient ensembles.
Alors, que Eiji demeurait près d'elle à s'en occuper un peu, les écoutant
parler regardant de temps à autre un de ses cousins.
- Je trouve que tu bois beaucoup Miko, tu en as parlé au
médecin ? Lui demanda t-il.
Eiji inquiet pour elle, il voulait que tout se passe
bien, puis son oncle finit par poser une question à Miko. Voyant que Miko ne
voulait pas parler alors il prie la parole et raconte le pourquoi de sa venue.
Il s'exclama de joie quant-il sut que sa nièce était enceinte même s'il était
très triste de la mort de son mari. Il vient près d'elle la prend dans ses bras
et la console doucement tout en la félicitant. Kyou la félicite aussi étant
contente pour elle puis, il se lève s'inclinait et sort du salon pour aller à
sa chambre. Elle était contente de parler avec son oncle et que Eiji soit là
pour s'occuper d'elle et la soutenir aussi puis elle entend son frère lui poser
une question. Car il trouvait qu'elle buvait trop d'eau. Elle le regardait donc
et sourit
- C'est normal si je bois de l'eau Eiji, tu sais, on est
quand-même en était-il fait chaud et je me déshydrate vite, car de plus je
nourris aussi mon bébé.
Elle le regarde tendrement, maintenant elle était bien
auprès de lui et de plus il n'y avait pas de jalousie qu'il était venu. Du tout
au tout elle aimait son frère puis elle pensait qu'elle avait encore des
dossiers à lire pour demain. Car il fallait bien qu'elle se présente au
commissariat pour que les autres sachent qui elle était. Aussi, qu'elle était
leur nouveau chef. Elle regardait donc son oncle et son frère.
-Je suis désolé de ne pas rester plus longtemps avec vous
mais j'ai encore du travail qui m'attend pour demain en plus donc je vous
laisse messieurs.
Apparemment c'était normal et Eiji espérait qu'elle
allait bien c'était le principal pour lui. De voir sa sœur en bonne santé ce
qu'il voulait le plus. Eiji lui sourit tendrement et viennent la prendre dans
les bras et lui fait un bisou sur le front. Un petit frère protecteur qu'il
voulait être pour elle. Cela devrait être-me contraire, mais il s'avérait que
sa sœur serait plus fragile que lui. Il allait être tonton bientôt et surtout
il fallait trouver quelqu'un pour sa sœur pour pas quel soit seul, c'est vrai
que perdre quelqu'un fait très mal, mais c'est aussi bien d'en avoir une près
de soit. Il voulait voir sa sœur heureuse. Il n'avait pas que lui qui devait
l'être. Il finit par entendre son portable sonnet et décroche et va près de la
fenêtre pour parler, c'était Juliette qui l'appelant, elle voulait le voir
apparemment c'était assez urgent. Il finit de discuter avec celle et raccroche
au même moment sa sœur annonçait quelle ne restait pas et qu'elle avait du
travail. Bon bien voilà que tout s'arrange. Eiji s'approche d'elle et lui
refait un bisou sur le front et lui caresse les cheveux.
- Je vais devoir y allez-moi aussi Juliette veut me voir. Dit-il avec le
sourire.
Puis il se retourne vers son oncle et le salut et étais très
content de l'avoir vue. Il promet de repasser assez vite. Il refait un sourire
à sa grande sœur et fini par sortir du salon où il récupérait sa veste, qu'il
avait retiré auparavant et sort de la demeure familiale et va à sa voiture. Il
la démarre et par rejoindre Juliette.
Eiji était toujours inspecteur de police, mais sa
carrière était comme-même très haute. Il était toujours en couple avec Juliette
cela fessait déjà uns ans. Il l'aime plus que tout, mais n'envisage pas encore
d'avoir des enfants avec elle, puis Eiji adorait les enfants, puis qu'il
s'occupe de tant à autre de sa petite-nièce. Il était un très bon tonton, mais
pour lui avoir des enfants étaient encore loin, car sa carrière était sa
priorité pour le moment et voulait montrer en grade pour le moment avant
d'avoir un enfant.
Il avait sa journée et était passé voir Miko et sa nièce
plus savoir comment elle y allait. Il avait passé la mâtiné avec eux. Le jeune
inspecteur avant vingt-six ans déjà, il était heureux d'être avec cette jeune
femme qu'il avait rencontrer dans cette boite de nuit, il était toujours
amoureux d'elle de plus en plus chaque jour. Eiji était tendre et romantique
avec elle, ce qu'il détestait le plus ce son les hommes qui s'approchent
d'elle. Il était dans le salon de la demeure et il reçut un texto de sa douce
lui demandant de la rejoindre vers la cathédrale du centre-ville.
- Miko je vais de voir te laisse ma douce me demande ^^
dit-il avec le sourire aux lèvres. Eiji vient poser sa nièce dans le parc à
enfant et vient vers sa sœur et lui fait un bisou.
- Prends soin de toi, grand-frère et surtout d'elle
- Oui grande sœur je sais, je t'ai promis ne tant fait
pas, puis Eiji sort de la maison et pris sa voiture pour aller au centre-ville.
Il était dans sa voiture et mit un peu la musique assez
douce et le sourire aux lèvres, il se souvenait qu'il l'avait trompe à l'époque
avec un jeune garçon d'une boutique de la ville, il n'avait jamais revu le
jeune garçon depuis et l'avait avoué à Juliette pour pas lui mentir. Il l'avait
fait parce qu'il ne savait pas si vrai il aimait autant cette femme, mais Eiji
a fini par se rendre compte quelle était la seule personne dans son cœur. Eiji
fini par arriver et se gare au parking, il sort de la voiture et se dirige vers
la cathédrale qui se trouvait en haute d'une colline, Eiji entre dans l'immense
batiste et met son portable en vibreur, cela fessait longtemps qu'il n'était
pas entre dans une église. Il aperçoit Juliette et vient se poser à ses côtés.
- Coucou ma douce. Dit-il en l'embrassent dans le cou
et viens l'embrasser sur la bouche.
Juliette fixait la statue de jésus qui était là. Elle
avait l'impression qu'il la regardait. Comme si elle était le diable en
personne parce qu'elle était enceinte et qu'elle n'était pas mariée ! Des
larmes coulaient sur ses joues. Elle restait penchée, le bras replié sur son
ventre et son autres mains retenait son mouchoir. Elle s'en voulait. D’autant
plus qu'elle et Eiji avaient décidé de ne pas avoir d'enfant tout de suite.
- Je vous en prie seigneur... Je sais que ce n'est pas
bien mais c'est plus fort que moi!
Elle restait là, à pleurer puis elle toussait fortement.
Elle essuyait ses larmes en entendant la porte de l'église s'ouvrir puis elle
vit son ange arrivé. Juliette ne lui dit rien puis elle se laissait embrasser.
La demoiselle fixait le sol puis elle soupirait avant de se retourner vers Eiji
tranquillement. Il était si beau. Elle prit une bonne respiration puis elle
ferma les yeux avant de serrer ses mains sur le bord de sa jupe.
-Eiji... On doit parler...
Elle soupirait puis elle recommençait à fixer la statue du
Christ.
- Je sais, on avait dit pas d'enfants tout de suite... Ce
n'était pas une priorité... et ce n'était pas dans tes plans, ni dans les miens
d'ailleurs mais... Je... je suis enceinte...
Eiji restait tétaniser d'apprendre cela, elle était
enceinte, comment c'était possible, alors qu'il s'était toujours protégé. Le
jeune homme restait sur le cul de savoir cela, c'était si soudain.
- Juliette comment ? Comment est-ce possible ? Lui
demandait-il
Eiji n'était vraiment pas encore près à être papa même si
cela lui fessait plaisir, mais c'était trop tôt pour lui pas maintenant. Il
baissa sa tête doucement comme étant un peu dessus de là savoir comme cela
ainsi, ça lui tombait dessus d'un coup, mais là, il ne voulait pas là devoir
non plus. Il avait besoin de réfléchir à cet événement. Eiji la prend dans ses
bras pour la câliné et l'embrasse dans le cou.
- J'ai besoin de temps Juliette.
Il était tout perdu là de cette annonce. Elle venait de
lui tomber ainsi alors qu'il allait devoir être tout faire pour être chef, mais
il n'était pas encore à là et le salaire non plus. Entre le loyer puis sa
voiture à payer puis se nourrir, tout partait très vite et là si elle devait se
mettre en cogner maternité cela allait être pire. Juliette ne savait pas trop
quoi faire, ni trop quoi dire, mais la réaction d'Eiji la surpris un peu. Elle
s'attendait à ce qu'il trouve cela formidable, qu'il accepte automatiquement
mais s'en fût pas comme cela. La demoiselle ne dit, mais elle se défit
doucement de celui qu'elle aimait, se retrouvant un peu plus loin dans le banc.
Tenant toujours le rebord de sa jupe, Juliette se levait puis elle soupirait,
croisant les bras sur sa poitrine.
-Eiji, je ne te demande pas l'impossible, juste que tu
acceptes ma situation... Si tu... si tu refuses que je garde l'enfant, c'est
comme si tu disais non à notre amour. Je suis déjà la risée de ma famille parce
que je ne suis toujours pas mariée... Imagine... Et je refuse à tout point à
avorter! Si tu ne m'aimes pas assez pour garder cet enfant... c'est que l'on n'est
pas fait l'un pour l'autre... Pardon...
Elle fixait le sol puis elle déglutit en soupirant. Ce
n'était pas vraiment ce qu'elle aurait dit en temps normal, étant donné,
qu'elle aimait à la folie cet homme. A la folie même à en mourir qu'Eiji
l'aimait, mais cela c'était si soudain, bien sûr qu'il était heureux d'avoir un
enfant avec la femme qu'il aime. Mais pas dans ses circonstances, il n'avait
que 26 ans, sa carrière était au même point être avait déjà du mal à vivre de
ses dépenses à lui. Il voulait que leur vie à tous les deux soient beaucoup
mieux que ce qu'il lui donnait à ce jour même. Eiji la vie se reculer de ses
bras et compris être vite, il l'entendit parler sur un ton qui lui plaisait
aucune main et elle lui posa un ultimatum. Eiji se redresse furieux et la
regardait serrant les points.
- Comment oses tu me dire une chose pareille Juliette moi
qui crevée d'amour pour toi, j'ai le droit de ne pas être près pour avoir un
enfant et tu le savais pourtant, ta famille, ils sont stupides avec leur règle
imposer... Genre je devrais t'aimer parce que tu porte mon enfant
accidentellement ? Non, mais et puis quoi encore? Je t'aime parce que tu es
toi, mais cela tu ne l'as pas compris... La pilule tu l’as prends Juliette et
ne va pas tout me remettre sur le dos. Non ce n’est pas de ma faute que la
capote c'est craqué.
Juliette figeait. Elle sentie son cœur fondre d'un seul
coup. Accidentellement... La demoiselle ne sut trop quoi dire. Elle se mordit
violemment la lèvre, jusqu'au sang puis une larme coula sur sa joue. Juliette
se retournait et giflait Eiji. Elle se sentait trahi, mal aimée.
-Accidentellement? Je n'ai jamais pris la pilule Eiji! Ce
n'est pas aujourd'hui que je vais commencer! Et qu'est que tu en sais si la
capote à craquer? T'a vérifié? Je te signale que la dernière fois, nous
n'étions pas protéger parce qu'on en avait pas! C'est ça que je suis pour toi?
Un accident? Juste une personne qui est un accident dans ta vie? Tu me dis que
tu m'aimes pour me garder près de toi? Te fout pas de moi Eiji! Je n'ai pas
besoin de cela! Moi je veux le garder! Pas à cause de ma famille, je le veux
cet enfant, je le désire Eiji, je veux une vie de famille, un amour infini avec
un homme que j'aime!
Juliette était rouge de colère, elle pleurait encore mais
c'était pire. Alors qu'elle allait continuer de parler, une douleur déchirante
la traversait. Elle se pliait en deux, le souffle couper, ce retrouvant assise
sur le banc de l'église. Les larmes lui montèrent aux yeux. Elle restait là, en
gémissant de douleur.
Eiji la laissait cracher son venin sur lui, prenant sur
lui comme toujours, sa joue lui fessait mal est une très belle marque était
encrée sur sa joue. Il la regarde alors qu'elle pleurait et Eiji se rapprochait
d'elle, mais il là vie se plier en deux et la fait s'assoit sur le banc
- Calme-toi Juliette... respire doucement tout en lui
caressant le dos.
Eiji savait que tout cela était encore de sa faute, il
détestait se disputer avec elle il se demandait vraiment si elle était heureuse
avec lui, il se disputait très souvent pour la même chose, mais Eiji devait
toujours la comprend met lui pas . Il n'était pas marié, mais Eiji voulait lui
faire une belle cérémonie avant cette enfant, mais tout ce qu'il avait prévu
pour elle venait de tomber à l'eau. Tout lui tombait déçu d'un coup...
- Désoler de te décevoir... désoler de ne par être
l'homme que tu attends que je sois...
La douleur la clouait toujours sur place. Comme si elle
refusait de la faire bouger ! Juliette restait là, pliée en deux, gémissant de douleur.
Les caresses de son amoureux sur son dos la faisaient frissonner, mais son mal
était trop intense pour qu'elle oublie tout.
- Qu'es que tu racontes... Tu es l'homme que je désire le
plus...
Elle lâcha un cri de douleur. Un mince filait de sang coulait
le long de sa cuisse pour finir sur le banc. Juliette savait les symptômes...
Elle était en train de faire une fausse couche. Lorsque l'enfant n'était pas
désiré, souvent le corps le repoussait. Elle regarda Eiji avec un regard
suppliant, essayant de cacher le sang. Elle ne voulait pas qu'il s'inquiète
pour elle.
- Je... pardon, je n'aurais pas du vouloir le garder cet
enfant... On s'engueule toujours par ma faute... Je suis tellement désolée...
Eiji sursautait son crie et ce rapproche d'elle, il savait
que quelque chose allait pas et prend son portable et appel une ambulance. Il
leur explique qu'elle avait mal et que la douleur passait pas. Il raccroche et
rang son portable... elle continuait de parler et Eiji essai de la calmer
doucement jusqu'au moment où il aperçu le sang. Il écarquillait les yeux et
l'allongeait doucement.
- Juliette tu saignes... non me dit pas que tu es...
Merde.
L'allonge sur le banc et essais de la calmer s'en voulait
énormément, elle tait en train de le perdre par sa faute et Eiji prend sa main
et lui sert doucement. Si elle perdait l'enfant, il savait qu'elle lui en
voudrait toujours et quelle lui remettrait sur le dos. Eiji lui caresse sa joue
tendrement.
- Juliette pardonne moi je ne voulais pas que ça en
arrive à la, pardon...
Une ambulance arriva et deux personnes entraient dans la
cathédrale et s'approcha d'eux, un jeune médecin vient s'occuper d'elle et
constate bien qu'elle et en tain de perdre l'enfant et qu'elle avait aller à
l'hôpital le plus vite possible pour quelle soit pris en charge rapidement. Il
la mise donc sur une civière et Eiji restait à ses côtés s'en voulant.